Doc Gynéco en garde à vue pour violences conjugales : une « bêtise » selon le chanteur

Interpellé par les autorités pour « violences volontaires » sur sa femme, Doc Gynéco est en garde à vue prolongée, le temps qu’une ultime audition ait lieu.

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  1. Doc Gynéco

Doc Gynéco est toujours en garde à vue, ce jeudi 11 mars. Pour rappel, le rappeur de 46 ans a été interpellé, la veille, par des policiers du commissariat du 18e arrondissement de Paris. Il est soupçonné de « violences volontaires par conjoint ». On reproche ainsi à Bruno Beausir, de son vrai nom, d’avoir violemment giflé sa femme, avec laquelle il est en relation depuis vingt-cinq années. Les faits se seraient déroulés chez lui, à la suite d’une dispute. Vendredi 12 mars au matin aura lieu une dernière audition.

Comme l’indique Le Parisien, c’est une voisine du couple qui a alerté les autorités, en entendant des cris depuis leur appartement, situé dans le quartier de la butte Montmartre. Lorsque les forces de l’ordre sont arrivées sur place, c’est l’un des fils de Doc Gynéco et de son épouse qui leur a ouvert la porte. La conjointe du chanteur aurait alors présenté un œdème au niveau de l’œil. La compagne de l’artiste chroniqueur de TPMP aurait expliqué aux agents de police qu’une violente dispute serait survenue à cause de « la jalousie » de son mari et qu’elle aurait reçu quatre gifles de sa part. Bruno Beausir de son côté n’a pas nié les accusations et a « reconnu en partie les violences », en assurant qu’il a fait une « bêtise ». Son épouse a ensuite été hospitalisée.

« Il reste présumé innocent »

Doc Gynéco a fait part de ses regrets et souligné les rapports compliqués qu’il a avec sa femme depuis un petit moment, en raison de « l’augmentation respective de leurs activités professionnelles », comme le soulignent nos confrères. Maître Jonathan Khalifa, l’avocat du chanteur, n’a pas souhaité réagir sur l’affaire et a simplement affirmé : « Le temps des explications de mon client devant la justice viendra et je ne doute pas que cet homme viendra s’expliquer publiquement. À ce stade, il faut rappeler qu’il reste présumé innocent. Le tribunal médiatique ne doit pas se substituer à la justice. »

Article écrit avec la collaboration de 6Medias

Crédits photos : JLPPA / Bestimage

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