Sophie Davant s’est livrée, ce jeudi 21 janvier, au cours d’une interview publiée dans son magazine S. L’animatrice télé a évoqué l’éducation qu’elle a inculquée à ses enfants et sa séparation avec leur père, son ex-mari Pierre Sled.
Quoi de mieux que de choisir sa propre revue pour publier une interview de soi ? C’est en tout cas ce que Sophie Davant a décidé de faire dans son magazine sobrement intitulé S, et paru ce jeudi 21 janvier en kiosque. L’animatrice télé de 57 ans a ainsi évoqué ses deux enfants, Valentine (âgée de 25 ans) et Nicolas (27 ans), qu’elle a eus avec son ex-mari, le journaliste Pierre Sled. « Je pense que ce ne sont pas des gamins pourris gâtés. On leur a inculqué tout de suite la notion de travail et la valeur de l’argent », a-t-elle assuré, comme le citent nos confrères de Purepeople.
De son côté, Valentine a également accepté de se dévoiler au magazine de sa maman. En réponse à la déclaration de Sophie Davant, la jeune femme a affirmé : « On ne se rend pas compte de tout, enfant. On ne voyait pas à quel point tu travaillais ». Sophie Davant a tenu à apporter quelques précisions : « Peut-être parce que je travaillais moins qu’aujourd’hui ! J’ai aussi fait des choix ». En effet, il y a plusieurs années, la figure emblématique de l’émission Affaire conclue a su faire des compromis pour se consacrer à sa vie de famille. « Je suis restée longtemps à la météo pour pouvoir passer du temps avec vous, pendant que Pierre accumulait les expériences », a-t-elle ajouté, sans langue de bois. Avec le recul, la mère de famille et ancienne présentatrice de C’est au programme ne regrette pas d’avoir privilégié ses enfants à sa carrière.
Une séparation « mal vécue »
« Ce n’étaient pas forcément des choix très agréables à l’époque, mais je sais pourquoi je les ai faits », a-t-elle poursuivi, avant d’évoquer son ancien mariage, qui a pris fin en 2012, après 21 ans d’amour. « Je me sentais coupable. Pas d’être une personne connue, pas forcément en raison de mes choix professionnels, mais à cause de mes choix personnels. J’ai culpabilisé pendant longtemps, longtemps… », a souligné Sophie Davant, avant de détailler : « Une séparation, c’est compliqué. Je l’ai mal vécue et je culpabilisais beaucoup de vous l’imposer ». « Vous étiez notre priorité », a conclu celle qui a partagé la vie de l’académicien Erik Orsenna, de mars 2012 à septembre 2013.
Article écrit avec la collaboration de 6Medias
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