Mort de Claude Brasseur : son fils Alexandre Brasseur se confie sur son dernier moment avec son père

Alexandre Brasseur a rendu un nouvel hommage à son père. Dans les colonnes de Paris Match, l’acteur de Demain nous appartient a raconté son ultime moment avec Claude Brasseur. Un souvenir gravé à jamais dans sa mémoire.

Depuis le 22 décembre dernier, Alexandre Brasseur pleure la mort de son père. Quelques jours à peine avant Noël, Claude Brasseur s’est éteint à l’âge de 84 ans, laissant derrière lui ses rôles cultes dans de grands films français. Le 29 décembre, c’est en l’église Saint-Roch à Paris que le comédien de Demain nous appartient a fait ses adieux à son papa lors d’obsèques en petit comité. Seules quelques stars du monde du cinéma avaient été conviées telles que Danièle Thompson, Nicole Calfan ou encore Jean-Paul Rouve. Un déchirement pour ce dernier qui a regretté qu’ils ne soient pas « plus nombreux du métier… » C’est donc une page qui se tourne pour le 7ème art mais surtout pour le fils du grand comédien qui lui a rendu un sublime hommage dans les colonnes de Paris Match.

« C’était un moment rêvé entre un père et un fils »

Si Alexandre Brasseur était très lié à son père, il a aussi et surtout révélé qu’ils s’étaient retrouvés tardivement. « Sur ses sentiments, son enfance et son passé, il s’est confié sur le tard, a-t-il confié. Vers la fin de sa vie, on a pu aborder ses blessures, son rapport avec sa mère, Odette, avec son père, Pierre.Toutes ces discussions qu’un père et un fils peuvent avoir, pendant des moments simples, le temps d’une grenadine à la terrasse d’un café, en regardant les gens marcher, en trouvant les femmes belles et Paris agréable« . Le mari de fiction d’Ingrid Chauvin dans la série de TF1 s’est aussi souvenu de son dernier moment avec celui qu’il a tant admiré et lui a donné l’envie de devenir acteur.

Alexandre Brasseur a évoqué son ultime moment de complicité avec son père lors d’une balade alors que celui-ci était déjà affaibli. « La nostalgie d’hier m’envahit déjà, a-t-il révélé. Je repense à notre dernière promenade. Nous avions marché dans le Paris qu’il aimait, bras dessus, bras dessous, à son rythme. Nous nous sommes assis à la terrasse du Vagenende, boulevard Saint-Germain. On a bu des spritz et regardé les filles. On était bien. C’était un moment rêvé entre un père et un fils, un moment simple et lumineux comme ce beau mois de juin qui l’a vu naître« . Un beau moment père-fils qu’il n’oubliera jamais.

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