Fini les complexes pour Elsa Lunghini : « Je n'ai plus peur du regard des autres »

Elsa Lunghini est une femme nouvelle. À 47 ans, celle que l’on voit dans la série Ici tout commence a raconté à nos confrères de Télé Loisirs qu’elle avait appris à lâcher prise et qu’elle se fichait désormais du regard des autres.

Elsa Lunghini s’est libérée de ses chaînes. La comédienne et chanteuse que l’on retrouve chaque soir dans la série Ici tout commence sur TF1 a accordé une longue interview à nos confrères de Télé Loisirs dans laquelle elle révèle qu’elle en a fini avec les complexes. Celle dont la popularité a explosé en 1986, alors qu’elle avait 13 ans, avec le titre T’en va pas l’assure, « Mon insouciance, ça fait longtemps que je ne l’ai plus.« 

« Plus je vieillis, plus je me détache de choses qui peuvent m’encombrer, » a raconté Elsa Lunghini. Et de poursuivre : « Adolescente, on se cherche et on n’a pas forcément les armes pour s’imposer. C’est vital de savoir dire non et de s’affirmer face aux autres, que ce soit dans sa vie professionnelle ou personnelle, et d’être en accord avec soi. » À 47 ans, celle qui a si souvent été opposée à Vanessa Paradis n’a « plus peur du regard des autres » ou « de ce qu’on peut penser (d’elle) ». « C’est très libérateur, » a-t-elle admis.

Elle n’a pas « peur de choquer ou déranger« 

Plus de 30 ans que les Français ont fait la connaissance d’Elsa Lunghini et certains peuvent avoir la dent dure avec elle. « Je reçois des témoignages chaleureux, mais aussi des critiques des gens qui ont grandi et vieilli avec moi, » a-t-elle expliqué. Et de concéder : « On ne fait jamais l’unanimité, il faut d’abord se plaire à soi. » Désormais, elle pense à elle et ne fait pas attention à ces personnes qui pourraient lui gâcher le moral. « J’ai toujours fait les choses en fonction de mes coups de cœur, sans peur de choquer ou déranger, » a continué l’ex de Bixente Lizarazu. Et de conclure : « On ne peut pas donner aux gens que ce qu’ils ont envie de voir. Il faut les bousculer et, moi aussi, j’ai besoin de l’être. »

Crédits photos : Pierre Perusseau / Bestimage

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