Jean-Marie Bigard, "ruiné", "aux abois", "plus un rond" : la vérité sur sa fortune !

Invité des Grandes Gueules sur RMC Story, Jean-Marie Bigard a joué cartes sur tables en revenant sur sa situation financière délicate…

Jean-Marie Bigard a beaucoup fait parler de lui ces derniers temps. Fortement agacé par la gestion des politiques de la crise sanitaire, l’humoriste de 66 ans s’est répandu à plusieurs reprises dans les médias pour partager son point de vue et parfois élever la voix contre le gouvernement ! « Je suis enragé. On nous prend pour des cons. On nous manipule. On organise une dictature chez nous. » s’énervait-il à la radio provoquant un buzz largement relayé dans les médias. Une colère qui avait fait réagir, Gérard Jugnot allant même jusqu’à comparer celui qui a failli se présenter à l’élection présidentielle à Hitler…

Ce jeudi 3 décembre, cet artiste au fort caractère était convié à l’émission des « Grandes Gueules » sur RMC Story. L’occasion pour Jean-Marie Bigard d’évoquer sans tabou sa situation financière, loin d’être au mieux. « Oui, je suis tout à fait aux abois » a-t-il lâché. Celui qui a réuni des milliers de personne en « bourrant le Stade de France » affirme être à un point où il n’a « plus un rond » : « Je suis comme tout le monde, je demande une autorisation de découvert à ma banque. Là j’ai 3 mois de loyer de retard. » relate-t-il avant toutefois de relativiser sur sa situation : « Je ne vais pas pleurer. Je suis encore dans ma position milliardaire de fric ! Si tu me demandes 500 euros, je vais aller les chercher au distributeur. Je ne vais pas me plaindre de mon sort. Mais si tu me demandes si je suis financièrement ruiné, je le suis, je te confirme ! » a-t-il lâché. 

Un brin rancunier suite à certaines remarques de ses collègues parmi lesquels Gérard Jugnot, l’humoriste met les choses au clair. « C’est dur parce que les gens comme Gérard Jugnot, qui me critiquent, ou d’autres, ils continuent de tourner des films. Ils pètent dans la soie mais moi, si je ne vais pas avec mes 100 kilos de bidoche sur la scène et que le préfet n’accepte pas que je joue devant 2 000 personnes, il m’affame. Je suis ma seule et unique source de revenus. Si je ne travaille plus je ne gagne plus d’argent. Et au bout de six mois, tu claques du bec. Relativement, hein« . En voilà un qui a le mérite de parler avec le coeur !

T.L

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