Gad Elmaleh en deuil : ce lourd secret de famille qu’il vient tout juste de découvrir

Gad Elmaleh est un personnage haut en couleur. Concernant sa vie privée, ses fans ne cessent d’être surpris…

On connaît Gad Elmaleh le personnage et un peu moins l’homme et le père de famille. L’humoriste reste assez discret sur sa vie privée. Pourtant, sur son compte Instagram, le papa de Noé et Raphaël vient tout juste de partager une mauvaise nouvelle. En effet, l’un de ses proches amis est décédé.

En légende d’une photo de lui, il écrit ces quelques mots… « Notre Frero Simon Amar nous a quittés…. Je suis bouleversé à l’heure où j’écris ces mots et j’ai du mal à l’accepter. Je prie pour qu’il repose en paix. Je pense à sa famille. Cet homme nous a tant donné. Il était LA vie. J’aimais tout de lui (…) Sachez que c’est lui et personne d’autre qui a popularisé le « Frero » qu’on utilise tous pour appeler nos potes…. Sauf que lui quand il le disait on entendait que de l’amour. Il avait même inventé le « Frera » 😉 Repose en paix mon frero. Ce soir j’allumerai un cigare à ta santé et je ne pleurerai pas je te promets. »

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Une publication partagée par GAD (@gadelmaleh)

En commentaires, ses fans lui apportent beaucoup de soutien. Récemment, dans une interview qu’il a accordée à la presse, Gad a confié avoir récemment appris un secret de famille douloureux de la part de sa sœur Judith. Proche de son grand-père, Judah Elmaleh, Gad a appris que ce dernier avait en réalité deux femmes.

« Une qu’on m’a présentée toute mon enfance comme étant mon arrière-grand-mère. Et ma grand-mère. Mariée de force, adolescente, parce que la première ne pouvait enfanter, l’artiste a-t-il ainsi expliqué. J’ai appris récemment par ma sœur (Judith Elmaleh, ndlr) que notre père a été le premier de ses sept enfants qu’elle a réussi à garder sans qu’il soit envoyé chez l’autre. Ma grand-mère s’appelait Simha. « Simha », c’est la joie en hébreu. »

En 2018 il avait évoqué à la télévision le lien très fort qu’il partageait avec sa grand-mère. « Je me souviens, quand j’étais gamin, je quittais l’école, sans le dire à mes parents, mais ma grand-mère était au courant. J’allais la voir l’après-midi, on était seuls dans cet appartement […]. Dans son immeuble, il y avait 7 étages, avec 2 appartements par étage. C’était donc 14 femmes marocaines qui vivaient, criaient, pleuraient, riaient, chantaient, faisaient la cuisine… » avait-il confié.

La rédac’

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