Ce lundi 2 novembre, le 13 heures de France 2 a emmené ses téléspectateurs à Venise. Dans son reportage, le JT a interrogé une touriste, qui n’a pas mâché ses mots devant la caméra.
Ce lundi 2 novembre, le journal de 13 heures de France 2 a emmené ses téléspectateurs en Italie, à Venise. La ville, bâtie sur 118 îles et îlots, regorge de mystères et de secrets entre son histoire, sa lagune et son patrimoine, visitée par des millions de personnes chaque année. Dans son archipel, Venise comporte une petite île du nom de Murano, où l’art de la verrerie se reflète sur plus d’un siècle de tradition. Réputée dans le monde entier pour son art unique, Murano est une île prisée par les touristes… et aussi les attrape-touristes.
Dans son journal du jour présenté par Nathanaël de Rincquesen, le 13 heures s’est justement intéressé à une touriste présente à Murano, qui a livré témoignage un brin vulgaire. "Il y a quand même beaucoup d’attrape-couillons, de boutiques d’attrape-couillons", a-t-elle lancé face à la caméra, en rigolant derrière son masque de protection respiratoire. "Mais on espère quand même voir une démonstration de soufflerie de verre et ça, ça va nous intéresser", a-t-elle conclu.
L’authentique verre de l’île de Murano
Comme le reportage l’explique, Murano est devenue "le supermarché du verre". Désormais, on y trouve beaucoup de babioles industrielles et de contrefaçons chinoises, qui se reconnaissent à vue d’œil. En moyenne, le vrai cristal réalisé à Murano est vingt fois plus cher que le verre contrefait que l’on peut trouver sur l’île. Les visites des ateliers des souffleurs de verre de Murano sont incontournables dans la lagune de Venise, en plus de ses canaux et ses maisons historiques. Les maîtres-verriers Simone Cenedese et Andrea Zillio sont notamment des sculpteurs mondialement connus, qui continuent de contribuer au rayonnement de l’île vénitienne, et de perpétuer un savoir-faire unique.
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