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- Aujourd’hui, « Soleil de cendres » de Astrid Monet, paru le 27 août 2020 aux Éditions Agullo.
Cassiopée, contributrice du groupe de lecture 20 Minutes Livres, vous recommande Soleil de cendres d’
Astrid Monet, paru le 27 août 2020 aux Éditions Agullo.
Sa citation préférée :
« Dans cette nuit d’été tranchante et noire, Marika garde les yeux grands ouverts sur les zébrures du monde et de sa vie. »
Pourquoi ce livre ?
- Parce que l’écriture est délicate, intimiste, ciselée. Les phrases souvent courtes comme autant d’uppercuts coupent le souffle du lecteur. Le style est poétique, presque musical, tissé comme une dentelle.
- Parce qu’au fil des pages, la tension monte. Avec des mots précis, bien choisis, Astrid Monet nous fait partager la peur, l’angoisse, l’espoir, le doute, l’amour… Elle sait transmettre ce que ses personnages ressentent, planter une atmosphère qui vous prend aux tripes. C’est fort, puissant, ça parle au cœur et à la tête…
- Parce que ce livre en forme de fable écologique est un petit bijou qui ne s’oubliera pas de sitôt. La couverture est belle, sobre et en lien avec le récit. Les éditions Agullo publient peu mais choisissent la qualité !
L’essentiel en 2 minutes
L’intrigue. Dans une Europe accablée par une chaleur étouffante, Marika va à Berlin avec Solal, son jeune fils pour qu’il y rencontre son père. Mais un événement imprévu va mettre la ville en plein chaos. Marika et Solal sont séparés, elle va tout mettre en œuvre pour le retrouver.
Les personnages. Marika, la mère. Thomas, le père. Solal, le fils. Et ceux qu’ils vont croiser.
Les lieux. Berlin.
L’époque. Contemporaine.
L’auteur. Astrid Monet est née en 1976 à Orléans. À l’âge de 21 ans, elle part s’installer à Berlin où elle travaille comme comédienne pendant une douzaine d’années. Elle remporte de nombreux prix lors de différents concours de nouvelles, Soleil de cendres est son deuxième roman.
Ce livre a été lu en me délectant du phrasé. L’auteur n’en rajoute pas, elle utilise le bon ton pour décrire les scènes, les rencontres, les ressentis. « J’aurais voulu rester dans son histoire, avec ses personnages tant tout cela me semblait réel. »
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