Valérie Trierweiler "en état de choc" après son licenciement : ce tweet assassin

Après plus de trente ans de bons et loyaux services, Valérie Trierweiler a été « remerciée » par le directeur général de la rédaction de Paris Match. Un coup dur pour l’ex-compagne de François Hollande, qui a réagi à cette décision, ce jeudi 13 août, sur Twitter.

C’est une date dont elle se souviendra longtemps. Alors que François Hollande fêtait ses 66 ans ce mercredi 12 août, Valérie Trierweiler a vécu une épreuve difficile. Selon la journaliste de La Lettre de l’audiovisuel Sandra Muller, la mère de Léonard a été « remerciée » par Hervé Gattegno, directeur général de la rédaction de Paris Match, hebdomadaire au sein duquel elle travaillait depuis plus de trente ans. Elle a d’abord travaillé pour le service politique du magazine, avant d’être écartée de ses fonctions au milieu des années 2000. La journaliste a ensuite été en charge d’une rubrique littéraire. Une profession qu’elle a continué d’exercer, alors que son compagnon de l’époque, en l’occurrence François Hollande, a été élu président de la République en 2012.

Un coup dur pour Valérie Trierweiler, qui a tenu à réagir à ce licenciement : « J’ai appris en plein cœur de l’été et pendant mes congés de façon extrêmement brutale mon licenciement de Paris Match où je travaillais depuis trente ans. Ce licenciement sans aucun motif valable me laisse en état de choc et de sidération« , a-t-elle expliqué, dans un message posté sur Twitter, ce jeudi 13 août. Tout laisse donc à penser que l’auteure de Merci pour ce moment ne va pas en rester là…

j’ai appris en plein cœur de l’été et pendant mes congés de façon extrêmement brutale mon licenciement de Paris Match où je travaillais depuis trente ans. Ce licenciement sans aucun motif valable me laisse en état de choc et de sidération. #parismatch

Ses fidèles lecteurs espèrent la revoir bientôt

Epaulée par ses fidèles lecteurs, celle qui partage aujourd’hui la vie de Romain Magellan a aussitôt reçu bon nombre de messages de soutien suite à cette annonce : « Oh non ! Une très mauvaise nouvelle ! Amitiés et soutien chère Valérie », a par exemple écrit l’écrivaine Tatiana de Rosnay. « Courage Valérie, et j’espère que la lumière sera faite sur ces licenciements », « Toute mon amitié pour traverser cette épreuve! Je comprends cet état de sidération car les moyens utilisés par ce nouveau directeur sont ceux d’un margoulin. Ce qui laisse présager un avenir sombre pour Paris Match » ou encore « J’aimais vos articles, votre travail. J’espère à bientôt dans un autre magazine ou à la télévision !? », a-t-on pu lire en commentaires. Suffisant pour remonter le moral de Valérie Trierweiler ? Rien n’est moins sûr…

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