Corinne Masiero a vécu un confinement de rêve. Enfermée avec des amis, et surtout son compagnon, l’interprète du Capitaine Marleau a savouré cette période. Elle se confie sur l’homme qui partage sa vie.
Si certains ont très mal vécu la période du confinement, d’autres, au contraire, y ont vu l’opportunité de mettre leur quotidien sur pause. De prendre le temps. D’apprécier la vie. Corinne Masiero fait plutôt partie de cette seconde catégorie. Une fois qu’elle a réussi à « lâcher prise sur les textes à apprendre pour les tournages », l’irremplaçable interprète du Capitaine Marleau a pu profiter de cette parenthèse, et aider « les copains, pour qui c’était beaucoup moins rigolo ». Parce que la comédienne au franc-parler légendaire n’était pas seule lors de cette période, loin de là. « J’ai la chance d’avoir une grosse baraque avec quatre appartements occupés par quasiment que des potes, donc c’était plutôt cool, et surtout, j’ai un jardin super », s’enthousiasme-t-elle dans les colonnes de Gala ce jeudi 23 juillet.
Corinne Masiero, en couple avec « un mec très indépendant »
Et surtout, elle était avec son compagnon, « un mec très indépendant, avec qui c’était vraiment super » d’être confinée. Ce dernier s’est récemment reconverti en naturopathe. « Il a suivi des cours pendant un an, maintenant il a son diplôme », précise Corinne Masiero. Et de surenchérir : « Avec ça, il continue d’être comédien, metteur en scène, il maintient sa compagnie de théâtre de rue… C’est un Géo Trouvetou de la vie ! ». Si le confinement a pu représenter une épreuve pour les couples, cela a été « tout l’inverse » pour celle qui ne mâche pas ses mots et celui qui partage sa vie. Il faut dire que l’heureux élu a chouchouté ses partenaires de confinement. « Avec un naturopathe à domicile, j’ai perdu je ne sais pas combien de kilos ! C’est lui qui fait la bouffe tout le temps », se réjouit-elle.
D’autant que ce dernier a allié l’utile à l’agréable, et pour tout le monde de surcroit. Puisqu’il s’est « éclaté », tout en « apprenant, aux potes et moi, à réfléchir à ce qu’on ingurgite, sans jamais être donneur de leçons ». « Du coup, on réalise l’engagement citoyen que peut être le choix de la nourriture : acheter local pour ne pas engraisser les supermarchés, qui font disparaître des hectares de culture alors qu’ils pourraient être confiés à des agriculteurs qui n’utilisent pas les saloperies de Monsanto et autres… Choisir ce que tu manges, c’est encore plus fort que mettre un bulletin dans l’urne ! », estime celle qui n’est pas dans les petits papiers de l’Elysée. A croire que Corinne Masiero remettrait bien cela…
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