Enceinte, Laura Smet demande à Læticia Hallyday de la "laisser tranquille"

Il s’agit de sa première prise de parole publique depuis plus de deux ans. Invitée au micro d’RTL mercredi 15 juillet, Laura Smet, qui a confirmé sa grossesse, s’est confiée sans détour sur l’état actuel de sa relation avec la veuve de son père, Læticia Hallyday. Celle-ci a de son côté accordé un entretien fleuve à Paris Match, imprimé dans le numéro à paraître en kiosques ce jeudi 16 juillet et dont elle fait  la couverture. Dans les colonnes du magazine, la veuve de Johnny dévoile, entre autres, certains termes de l’accord passé sur la succession du rockeur.

« Læticia a rompu cette clause (de confidentialité, à laquelle l’accord est soumis, ndlr) dans son interview à Paris Match. Moi, je ne la romprai pas », annonce immédiatement à la radio l’actrice de 36 ans, quand l’intervieweur, Vincent Parizot, s’épanche sur la teneur de cette accord définitif, finalement trouvé entre les avocats de Laura Smet et ceux de Læticia Hallyday le 3 juillet dernier, après une longue et médiatique bataille judiciaire.

« Je vais devenir maman. J’ai envie d’être sereine. »

Oui, les deux parties ont fini par s’accorder, et la fille de l’idole assure en être « très contente ». « Je vais devenir maman. J’ai envie d’être sereine. Je n’ai pas envie de me bagarrer plus longtemps que ça. (…) Je n’ai pas du tout envie de passer ma vie à m’occuper de cette histoire qui est quand même sordide », explique-t-elle. Elle dit aussi : « Je ne souhaite aucun mal à Læticia, mais je souhaite qu’elle me laisse tranquille et qu’elle arrête de parler à ma place de ma relation avec mon père ».

Mais elle confesse, dans le même temps, ne rien pardonner du comportement de son ex-belle-mère durant la période avant que son père ne décède. « J’ai dû voir mon père depuis 5-6 ans avant sa mort plusieurs fois en cachette, et ce n’était pas facile, ni pour lui, ni pour moi », se rappelle-t-elle.

Il n’y aura jamais de paix possible, à partir du moment où elle a franchi la ligne qui est de nous empêcher de dire au revoir à notre père

Elle révèle aussi : « Ce que je sais aussi, c’est qu’on a pas dit à mon père qu’il était en soins palliatifs et comme il était toujours sous traitement, mon père ne savait pas qu’il allait mourir. Je vous dis des choses très intimes mais qui sont chez moi une déchirure que je ne pourrai jamais guérir. »

Un dernier au revoir à son père sous contrôle

Puis, à la mort de son père, Laura Smet a « voulu (s)e recueillir chez lui, dans le bureau qui a été transformé en chambre médicalisée ». Compliqué, contrôlé, là-encore, selon ses dires. « Læticia n’était pas là, et je n’ai pas eu le droit de garder mon portable, un conseiller me l’a demandé ».

Elle lâche : « Il n’y aura jamais de paix possible, à partir du moment où elle a franchi la ligne qui est de nous empêcher de dire au revoir à notre père. J’étais avec ma mère (Nathalie Baye, ndlr) ce jour-là. On a attendu quatre heures dans le salon pour qu’on puisse dire au revoir à mon père. » 

L’interviewée raconte aussi l’après, révèle que Læticia Hallyday l’a ignorée : « Lorsque mon père est décédé, j’ai écrit cette lettre ouverte posthume, et croyez-moi j’y ai bien réfléchi, parce que pendant plus d’un mois, j’ai fait plusieurs tentatives pour entrer en relation avec Læticia, mais je n’ai jamais eu de réponse de sa part. Je n’ai pas pu avoir accès à quoi que ce soit qui venait de la femme de mon père. » 

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