La beauté coule dans leurs veines. Le 14 juillet 2020, Louane Emera a célébré la Fête nationale en compagnie de sa soeur Louise et a immortalisé ce joli moment de complicité sur Instagram.
La famille, c’est sacré ! Et depuis que Louane est de retour sur les réseaux sociaux, elle n’hésite pas à montrer tous ceux qui comptent pour elle… ou presque. Si sa fille Esmée reste pour l’heure parfaitement anonyme, c’est sa soeur Louise qui est, le 14 juillet 2020, la star de son compte Instagram. Le duo, complice, a pris la pose joue contre joue. L’une a les yeux bleus, l’autre a les yeux bruns, mais en dehors de ce petit détail, la ressemblance est folle !
On sait très peu de choses de cette soeur, si proche de Louane. À la fin de l’année 2017, elle expliquait seulement que Louise avait étudié à Oxford, puis qu’elle avait intégré une école de production à Barcelone. Louane fait partie d’une fratrie de six. Avant de se mettre ensemble, les parents de la chanteuse avaient eu des enfants de relations précédentes : trois filles d’un côté et un garçon de l’autre. Mais hors de question pour elle de considérer quiconque comme faisant à moitié partie de la famille !
« J’ai compris très tard, au collège il me semble, ce que voulait dire le mot ‘demi’, expliquait-elle dans Paris Match. Chez nous, cela n’a jamais existé. Peut-être parce que j’ai toujours vécu avec eux tous. » Pour leur prouver son amour, l’artiste a même créé son nom de scène en utilisant certains de leurs prénoms. Louane n’est autre que la contraction de son propre prénom, Anne, et de celui de Louise.
Il y en a une toutefois qu’on ne risque pas de voir sur Instagram de sitôt. Et c’est Esmée, la fille que Louane a eue avec Florian Rossi. La chanteuse de 23 ans l’a précisé, elle ne souhaite absolument pas l’exposer sur les réseaux sociaux. « Cette vie-là, c’est moi qui l’ai choisi, et pas elle, mais ma famille va très bien, j’en suis très fière, racontait-elle lors d’un live. Je suis très heureuse de la famille que j’ai aujourd’hui et je suis très très heureuse, comme toute jeune maman, j’imagine. Et c’est trop beau en vrai. J’espère que j’arriverai à faire respecter au maximum la vie privée de ma fille parce qu’elle n’a rien demandé. Ma vie, c’est une chose, la sienne, c’en est une autre. » Patience, patience…
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