La suite de Top Chef, la fiction Deux gouttes d’eau, le magazine Des racines & des ailes et le drame Douleur et gloire … Voici la sélection Télé 7 Jours du mercredi 20 mai 2020 concoctée par la rédaction.
M6 diffuse à 21h05 la suite de Top Chef. Quatre candidats sont encore en lice pour remporter le titre de Top Chef 2020. Pour cela, ils vont devoir récolter deux pass pour se qualifier pour les demi-finales. Lors de la première épreuve du chef triplement étoilé Christian Le Squer, les candidats vont devoir réaliser un plat d’exception qui visuellement évoque un paysage naturel. Ce défi de trompe-l’œil est particulièrement technique. Puis, lors de la deuxième épreuve, les chefs seront jugés par huit grands noms de la gastronomie au Casino de Paris. Plus que jamais, les candidats devront défendre leur plat, raconter une histoire et surtout assurer le show.
France 2 programme 21h05 la fiction Deux gouttes d’eau. Le corps sans vie d’une jeune femme a été découvert à son domicile. Le commandant Laforge et le lieutenant Barbieri suspectent le fiancé de la défunte… À l’image du roman éponyme de Jacques Expert, cette histoire de jumeaux pervers, incarnés par Hugo Becker génial dans ce double rôle, joue tout autant avec les nerfs des deux flics qu’avec ceux du téléspectateur. Avec trois belles performances d’acteurs.
France 3 propose à 21h05 un nouveau numéro du magazine Des Racines et des ailes. Carole Gaessler nous entraîne à la découverte du Pays Basque. Sur le littoral basque, Viviane Delpech, historienne de l’architecture, part à la découverte du patrimoine Art Déco. A Ciboure, visite de la somptueuse villa Leihorra. A Guéthary, Viviane s’intéresse à la composition du fabuleux vitrail du maître verrier Jaques Grüber. A l’intérieur des terres, des producteurs militants se regroupent au sein de la charte fermière Idoki, pour défendre une agriculture paysanne et des produits au goût de leur terroir.
Canal+ mise à 21h05 sur le drame Douleur et gloire. Un réalisateur mélancolique et tourmenté, est confronté à la difficulté de créer et aux souvenirs de sa jeunesse à la suite d’une série de retrouvailles. Se mélangent le présent et les souvenirs, la fiction et la réalité, dans cet autoportrait déguisé de Pedro Almodovar lui-même, qu’incarne un Antonio Banderas en état de grâce. Un voyage intime aux couleurs intenses, aux sentiments dévorants, qui touche au sublime après une première partie toutefois un brin longuette.
Sarah Ibri
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