Un ancien collaborateur de Goldman et Céline Dion se souvient de leur première collaboration… à l’époque, Jean-Jacques n’avait pas beaucoup aimé les manières de chanter de la québécoise.
Ce dimanche 12 avril, Céline Dion s’affichait, sur Instagram, des oreilles de la lapin sur la tête et en pleine cueillette des oeufs… à l’occasion de Pâques. « Alors que nous passons ce dimanche de #Pâques à la maison, maintenant plus que jamais, je vous souhaite, à vous et à vos proches, la santé… prenons soin les uns des autres », écrivait même la diva en légende de sa publication qui a amusé et attendri les internautes.
Quelques heures plus tard, la diva saluait l’immense talent d’Andrea Boccelli qui a donné de la voix à l’intérieur du Duomo de Milan, entièrement vide, pour un concert unique pensé comme « une prière » face au coronavirus. « Mon très cher ami Andrea, ta voix apporte espoir et réconfort à nous tous durant ces temps difficiles. Je t’envoie, à toi et toute ta famille, amour, santé et bonheur, aujourd’hui et à tous les jours », lui a écrit la star québécoise, désireuse de lui rendre hommage.
Mais c’est surtout à Jean-Jacques Goldman que Céline doit penser assez régulièrement car il est celui qui lui a offert beaucoup de succès.
Le 30 mars dernier, tous deux célébraient d’ailleurs les 25 ans de l’album D’Eux. Erick Benzi, réalisateur et co-arrangeur du disque, s’est souvenu dans un entretien accordé au Parisien que Goldman avait à l’époque de leur première collaboration, remarqué chez elle quelque chose qu’il ne supportait pas : le fait qu’elle veuille toujours faire le show à l’américaine. Amateur de douceur, il avait alors voulu la faire « déchanter ».
Et la connexion entre eux se fait rapidement, Céline n’aura même pas eu « besoin de répéter, elle comprend tout de suite et trouve l’émotion juste. »
Jean Puydebat
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