Valérie Mairesse évoque "les mains baladeuses" de Pierre Bénichou : cet hommage qui détonne

Les hommages n’en finissent plus de tomber pour Pierre Bénichou, qui a rendu son dernier souffle ce 31 mars, à l’âge de 82 ans. Parmi les voix qui ont souhaité adresser un dernier mot au journaliste, celle de Valérie Mairesse, qui a évoqué son souvenir lors d’une émission spéciale sur RTL. Un hommage pour le moins surprenant.

Pierre Bénichou s’en est allé, laissant derrière lui sa voix, ses écrits, mais surtout des souvenirs impérissables à ceux qui ont croisé son chemin. Le célèbre journaliste, qui s’est éteint ce 31 mars dans son sommeil, à l’âge de 82 ans, a marqué les esprits de nombreuses personnalités, à commencer par ceux qui l’ont fréquenté sur RTL, la radio qu’il avait rejoint dans les années 90, ou France 2 à partir des années 2000. Lors d’une édition spéciale des Grosses Têtes, dont il était l’un des sociétaires emblématiques, Valérie Mairesse, également sociétaire de l’émission, a rendu un hommage pour le moins particulier à celui qu’elle n’est pas près d’oublier. « Moi, je me souviens surtout de ses mains baladeuses. Il avait ce côté-là. Donc on a eu des moments où on s’engueulait pas mal parce que moi je ne supporte pas qu’on me mette une main quand ce n’est pas moi qui décide« , a déclaré la comédienne au cours d’une séquence repérée par Closer.

Puis d’ajouter : « Mais c’est évident que c’est un monument et qu’il va sacrément nous manquer ». Des paroles surprenantes – et d’une honnêteté déconcertante – qui n’ont pas surpris Laurent Ruquier, son ami de plusieurs décennies. « Maureen Dor en a fait les frais à une époque. Elle lui disait : ‘J’en ai marre de tes mains baladeuses’. Et il répondait : ‘Comment tu peux dire ça ? Si les gens me voyaient à la télé et qu’ils voyaient mes belles mains, ils se demanderaient comment je peux aller balader mes mains là-dessus' » , a raconté l’animateur.

Un franc-parler légendaire

Une grande gueule, un aplomb assumé, Pierre Bénichou aimait les phrases coups de poing, qui ne laissaient personne indifférents. Ironie du sort, quelques semaines avant sa disparition, il évoquait lui-même sa mort, avec le second degré qu’il gardera jusqu’au bout. « Il faut me respecter comme il faut respecter quelqu’un qui vit ses derniers jours, bande de c*** (…) je suis très respecté dans mon quartier« , avait-il lâché.

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