Coronavirus et confinement obligent, les élections départementales pour l’élection de Miss France sont bouleversées. Afin d’assurer la bonne continuité des choses, le concours a dû s’adapter. Sylvie Tellier explique ce qui va changer.
30 Miss régionales rêvent chaque année de devenir Miss France. Mais avant d’accéder à ce titre, les prétendantes doivent déjà être retenues au concours régional. Mais voilà, avec le coronavirus et le confinement, ces élections sont bouleversées. Interviewée par Télé Loisirs, Sylvie Tellier, la patronne du comité, révèle comment tout sera chamboulé cette année.
Les élections régionales n’avaient pas commencé, mais ce n’est pas le cas des élections départementales. En conséquence, le comité a dû tout réorganiser pour permettre le bon déroulement de ce grand casting. « On est en train de mettre en place un système d’inscription en ligne pour les candidates où elles vont faire leur vidéo de présentation de chez elle, on va leur demander de faire deux à trois pas de catwalk dans leur jardin, ou leur appartement« , révèle Sylvie Tellier. Des candidatures très 2.0 à envoyer aux délégations départementales.
Le concours Miss France demandant une sacrée organisation, la belle quadragénaire fait tout pour que les élections régionales ne prennent pas du retard. Car on le sait, elles sont étalées sur de longs mois et demandent de nombreux déplacements. Très positive malgré ce contexte compliqué pour travailler, la maman de trois enfants voit en cette nouvelle organisation une jolie opportunité donnée aux prétendantes de prendre la parole et de s’exprimer. Dans leur vidéo, elles doivent mettre en avant leurs motivations. « Souvent, pas mal de gens critiquent Miss France en disant que ce n’est qu’un concours de beauté et qu’on ne les entend pas parler, et bien au moins on leur donne la parole. Il va falloir qu’elles arrivent à convaincre la délégation sur leurs motivations, leurs façons de s’exprimer. Ce sera un premier exercice pour la finale régionale, mine de rien cette période de confinement a aussi du bon !« , conclut Sylvie Tellier.
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