Depuis qu’Olivier Véran a succédé à Agnès Buzyn au ministère de la Santé, tous les regards sont portés sur lui… mais pas seulement. Sa compagne, Coralie Dubost, se retrouve également sous les projecteurs. Si la jeune femme reste discrète sur sa vie privée, nul doute que le couple est amateur de plaisanteries. Pour preuve, ces images étonnantes datant de 2017 où la députée LREM est prise d’un fou rire incontrôlable à l’Assemblée.
Alors que la propagation du coronavirus COVID-19 se poursuit, le ministre de la Santé, Olivier Véran, enchaîne les interventions télévisées. Dans l’ombre, sa compagne, Coralie Dubost, poursuit son petit bout de chemin en politique. À 37 ans, la jeune femme, députée LREM de l’Hérault, a un déjà joli parcours derrière elle. Juriste de formation reconvertie dans la politique il y a quatre ans, elle est désormais membre de la commission des lois, membre de la commission des Affaires Européennes, et déléguée parlementaire au Conseil de l’Europe. Des fonctions prestigieuses qui ne l’ont pas empêchée de garder son côté naturel.
En 2017, l’Opinion publiait en effet sur son compte Twitter des images surprenantes de la députée, alors encore largement méconnue du grand public. En pleine séance de lecture à l’Assemblée, Coralie Dubost, qualifiée par certains de « bébé Macron« , avait été prise d’un énorme fou rire. S’excusant à plusieurs reprises, elle avait alors révélé être amusée par une proposition autour de l' »aquaponie« , un terme lui évoquant des « poneys« .
Difficile de ne pas rire en voyant ces images de la députée Coralie Dubost (LREM), prise d’une gros fou rire en découvrant l’aquaponie ? pic.twitter.com/Av1B53fsBi
« Ma spontanéité ne s’éteindra pas, c’est un trait de caractère »
Après plusieurs tentatives infructueuses, la jeune femme avait réussi à retrouver son sérieux. Cette scène, extrêmement rare à l’Assemblée, est révélatrice du fort tempérament de Coralie Dubost. Prise pour une « plante verte » à ses débuts auprès d’Emmanuel Macron, la députée est finalement parvenue, envers et contre tous, à se faire une place de choix au sein de LREM. Contrainte à plusieurs reprises d' »arrondir les angles« , comme elle le confiait dans un portrait du Parisien, elle n’a jamais baissé les bras, persuadée que son caractère bien trempé était un atout. « Ma spontanéité ne s’éteindra pas, c’est un trait de caractère », concluait-elle alors, non sans fierté.
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