Confiné chez lui depuis une semaine, Jean-Pierre Pernaut continue de participer, à sa manière, au 13 heures de TF1. Et il a visiblement quelques messages à faire passer !
Jean-Pierre Pernaut n’est plus sur le plateau de « son » 13 heures sur TF1 chaque jour, confinement par précaution oblige, mais il est toujours à l’antenne ! Depuis une semaine, le journaliste anime en effet chaque jour depuis son domicile, et grâce à un petit studio personnel installé par les équipes de la chaîne, une petite pastille à la fin du JT présenté par son joker, Jacques Legros. Ce moment, sobrement intitulé « Le 13 heures à la maison », est donc pour Jean-Pierre Pernaut une occasion unique de garder un lien avec ses fidèles téléspectateurs, mais aussi de continuer à faire passer ses habituels coups de gueule !
Cette fois, c’est sur le sujet scolaire, lié à la pandémie, qu’il a voulu s’exprimer. « Faut aussi préparer le bac, j’en ai deux (enfants qui doivent le passer) à la maison », a d’abord signalé le journaliste en disant un grand « bravo aux enseignants qui font un boulot formidable à distance ! » Jean-Pierre Pernaut a ensuite rebondi sur la déclaration, ce dimanche, du ministre de l’Education nationale Jean-Michel Blanquer qui a affirmé qu’il tablait désormais pour un retour à l’école (et donc une fin de confinement général ?), le lundi 4 mai. Sans convaincre Jean-Pierre Pernaut qui lui a bien fait comprendre à travers une petite pique : « Quant à la reprise le 4 mai, personne n’y croit, c’est dans cinq semaines et le virus sera toujours là ! » Ce n’est pas la première fois que le présentateur profite de sa pastille pour tacler la gestion de crise par le gouvernement.
Des Français « inconscients »
Le 12 mars dernier, il critiquait sévèrement dans son journal l’absence de masques disponibles. Selon lui, si en France « on dit que ça n’est pas utile« , contrairement à ce qu’on peut voir en Chine ou en Italie, « c’est parce qu’on en a pas ! » Mais le gouvernement n’est pas le seul à agacer Jean-Pierre Pernaut ces derniers jours. Il a aussi très sévèrement jugé le comportement de certains Français, des « inconscients », qui profitaient à l’extérieur des premiers rayons de soleil du printemps à l’extérieur, malgré les règles strictes du confinement mis en place.
Source: Lire L’Article Complet