Le comédien a rendu hommage à son ami, Didier Bezace, mort à l’âge de 74 ans.
La cote de popularité de Jean Dujardin a quelque peu souffert depuis sa participation au film de Roman Polanski, J’accuse, récompensé au César, vendredi 28 février dernier. Pire, l’acteur doit faire face à de nombreuses critiques de la part des internautes qui ne comprennent pas que la star ait pu prendre part au projet d’un homme accusé de viols. Nommé dans la catégorie Meilleur acteur, le mari de Nathalie Péchalat, qui ne s’est pas rendu à la Salle Pleyel comme tous les autres membres de l’équipe du film, avait lâché cette phrase sur les réseaux sociaux pour répondre à ses détracteurs : « Je voudrais simplement rappeler que J’accuse est le titre d’un article assez célèbre d’Emile Zola, j’espère que cela ne gêne personne ? »
C’est dans un hotel privé dans le 16ème arrondissement de Paris qu’il a suivi la cérémonie animée par Florence Foresti en compagnie du réalisateur.
Un décès qui le touche profondément…
Mais si ces derniers jours, le comédien avait fait preuve de beaucoup d’humour, l’humeur était toute autre ce mercredi 11 mars. Jean Dujardin a appris, avec tristesse la disparition de l’un de ses proches. En effet, le metteur en scène et comédien, Didier Bezace est mort à l’âge de 74 ans « des suites d’une longue maladie qu’il a combattue avec vigueur et courage », a indiqué un communiqué transmis à l’AFP. D’ailleurs, le syndicat national des metteurs en scène a salué « son engagement et l’intégrité de ses spectacles » qui « resteront comme des marqueurs d’une partie de l’histoire de la décentralisation théâtrale dans notre pays ».
Sur son compte Instagram, l’ancien compagnon d’Alexandra Lamy a donc publié un cliché en noir et blanc de cette figure du théâtre, accompagné, en légende d’un simple « salut » avec un émoji qui pleure.
Salut Didier#didierbezace
Dans les commentaires, de nombreuses personnalités, Pierre Niney en tête, ont également rendu hommage à celui qui a joué dans le film mariages (avec notamment Jean Dujardin, Miou-Miou ou encore Mathilde Seigner) de la réalisatrice Valérie Guignabodet, en 2004.
Jb.
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