Ce jeudi 27 février, Faustine Bollaert était aux commandes d’un nouveau numéro de Ça commence aujourd’hui sur France 2. Au détour d’un témoignage, l’animatrice a révélé l’amusante raison pour laquelle, lorsqu’elle était enfant, elle devait se justifier sur le métier de son père.
C’est une anecdote… à l’image de son amour pour un univers macabre. Ce jeudi 27 février, Faustine Bollaert était aux commandes d’un nouveau numéro de Ça commence aujourd’hui. L’animatrice de France 2 y recueillait des témoignages de personnes parties de rien, ayant eu des parcours jalonnés d’embûches mais qui ont tout de même réussi à gravir les échelons. A l’instar de Laura, une femme de 50 ans qui retraçait son parcours. Maman dès l’âge de 16 ans, celle-ci a démarré sa carrière en bas de l’échelle auprès d’un équipementier automobile. Mais à force d’ambition et de travail, elle s’est finalement imposée peu à peu.
Ce métier qui a valu quelques soucis à Faustine Bollaert
« Et puis, un jour, j’ai reçu un coup de fil magique, incroyable, insolite », se remémore-t-elle avec enthousiasme. A l’autre bout du fil, c’est un « cabinet de recrutement, chasseur de tête » qui se présente à Laura. De quoi l’intriguer grandement. Et pour cause, elle n’a aucune idée de ce que cela signifie. « Chasseur de tête, c’est quoi ce métier ? Je ne sais pas ce que c’est », explique-t-elle face à une Faustine Bollaert amusée. Au fil des récits de ses invités, cette dernière a pris l’habitude de glisser quelques confidences personnelles. Et celle du jour est pour le moins rigolote. Puisque, plus que quiconque, elle sait ce qu’est un chasseur de tête… cela lui a même valu quelques problèmes à l’école.
« Mon père était chasseur de tête », dévoile la compagne de Maxime Chattam. Il n’en fallait pas plus pour que ses camarades de classe s’imaginent les pires scénarios possibles, voyant déjà Faustine Bollaert comme la fille d’un serial killer. « Toute ma jeunesse, on a cru qu’il coupait des têtes ! », lance-t-elle, provoquant l’hilarité du public. Si cela aurait pu amuser la maman d’Abbie et Peter, la réalité était moins divertissante, puisqu’elle devait sans cesse mettre les points sur les i. « Il a fallu que j’explique ce que voulait dire ce métier donc je comprends votre désarroi », confie-t-elle à son invitée, dans un clin d’oeil.
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