hors-série "La nostalgie Kennedy" – JFK et Judith Campbell, liaison fatale

Certes, il y eut Marilyn Monroe. Mais plus inquiétante sera la liaison de John avec Judith Campbell, intime de Sam Giancana, le parrain de Chicago… Jacqueline Kennedy faisait entrer en douce les modèles Givenchy à la Maison-Blanche… Un extrait de notre hors-série « La nostalgie Kennedy », 100 pages de photos et de reportages exclusifs consacrées à l’histoire du clan Kennedy, en vente à partir du jeudi 12 février chez votre marchand de journaux.

Ce jour-là, deux hommes riches d’innombrables secrets – ceux des autres, ceux l’un de l’autre – se font face. Nous sommes à la Maison-Blanche, le 22 mars 1962. Journée tranquille à Washington. Quelques semaines plus tôt, John Glenn a fait trois fois le tour de la Terre. L’Amérique vit au rythme presque quotidien des marches, passionnées et tendues, souvent violentes, pour les droits civiques.

Mais à la Maison-Blanche, deux hommes parmi les plus puissants de la planète déjeunent et parlent de tout autre chose que de la marche du monde: ils parlent de sexe. Et de mafia. Et de chantages, potentiels ou réels. L’un des deux a demandé rendez-vous à l’autre. Ou plutôt, il s’est invité chez l’autre. John Edgar Hoover, patron du FBI, ne demandait jamais rien à personne, pas même à John Fitzgerald Kennedy. Il imposait, il menaçait, il ordonnait. Il ne quémandait jamais, sauf peut-être, en privé, à son ami et compagnon dans la vie, Clyde Tolson. Aujourd’hui, c’est Hoover qui parle, Kennedy qui écoute. Au menu, dans le repaire privé de JFK attenant au bureau Ovale, quelques huîtres de Nouvelle-Angleterre. Et Judith Campbell, l’une de ces femmes qui, avec l’éblouissante Mary Meyer – que nous raconterons plus loin –, ont fasciné Kennedy plus que toutes les autres, même Jackie ou Marilyn.

Judith, donc, Judith Campbell, née en 1934, élevée à Pacific Palisades, près de Hollywood, par des parents architectes prospères et voisins de Bob Hope. Comme toute jeune fille avenante en ces contrées, elle rêve de cinéma. Elle n’y goûte que par procuration, avec son premier mari, William Campbell, apparu dans quelques westerns et séries télévisées des années 1950. Elle l’épouse en 1952, divorce six ans plus tard. Avantage collatéral, si l’on ose dire, de cette brève carrière au royaume du glamour: elle croise le chemin de «The Voice», «Ol’ Blue Eyes», Francis Albert Sinatra, Frankie pour quelques amis, «le gangster de Hoboken» pour d’autres. C’est là, à Hoboken, près de New York, qu’il a eu ses premiers liens avec la mafia.

Une liaison, naturellement, s’ensuit. Mais Sinatra n’est pas bégueule. Son ami Kennedy – à l’époque, Sinatra est démocrate; il passera dans l’autre camp sous Reagan – fait campagne à Las Vegas au début de 1960, à quelques mois de l’élection présidentielle. Le crooner s’y produit le même soir de janvier, au Sands Hotel. Que croyez-vous qu’il arriva ? …

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