Ce lundi 17 février, C8 rediffuse Les Sous-doués en vacances. L’occasion pour les téléspectateurs de rire à nouveau devant les aventures de Bébel et ses amis… et de fredonner le refrain culte de la bande-originale « Destinée ».
Il y a dans le cinéma français des comédies cultes que l’on aime revoir à l’infini. Nombreux sont ceux qui attendent avec impatience les vacances de décembre ou février pour voir apparaître dans leur grille des programmes télé le nom des Bronzés font du ski. L’été, cette pépite de la troupe du Splendid est remplacée par un autre bijou du genre : Les Sous-doués en vacances. Et il faut croire que la chaîne C8 a très envie de voir la saison chaude arriver, puisque c’est avec pas mal d’avance qu’elle propose au public une rediffusion du film réalisé par Claude Zidi en 1982. Ceux qui ne sont pas fans des séries médicales ou qui se lassent des déconvenues amoureuses des candidats de Mariés au premier regard trouveront donc leur bonheur sur la TNT ce lundi 17 février.
Deux ans après le premier volet – et l’explosion de sa carrière -, Daniel Auteuil retrouve son personnage de Bébel et ses amis du Cours Louis XIV. Les tricheries pour décrocher à tout prix le BAC sont loin derrière et la joyeuse troupe profite de l’été pour vivre de nouvelles aventures rocambolesques. Les Sous-doués en vacances, c’est Togo qui se fait réduire la taille des jambes par un médecin très particulier. C’est Claudine qui se fait voler son compagnon et son voyage aux Seychelles par sa sœur jumelle (et jalouse), Hélène – qui se fait passer pour elle. Et puis c’est l’apparition du crooner Paul Memphis, interprété par Guy Marchand.
La chanson culte des Sous-doués en vacances ressemble à un autre tube
Pour sa prochaine tournée, son assistant a conçu une « Love Machine » qui permet de savoir quel couple est parfaitement compatible. Un peu comme les calculs savants de Mariés au premier regard, mais avec de la musique en plus. Les jeunes candidats testent leurs atomes crochus en dansant un slow sur le tube « Destinée ». Si Guy Marchand n’a pas tout de suite chanté les bonnes paroles, la mélodie, elle, était la même depuis le début. Entêtante, entraînante… on apprend des années plus tard que le compositeur Vladimir Cosma s’était inspiré d’un autre grand slow des années 70, L’été indien de Joe Dassin. Il y a un an, y a un siècle, y a une éternité… mais c’est toujours un succès.
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