Ce mercredi 22 janvier, Alice Taglioni est à l’affiche de Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part d’Arnaud Viard. Un rôle plein d’émotion dans lequel elle s’est beaucoup investie, comme à chaque fois.
Son dernier film remontait à septembre 2019. Dans Andy, Alice Taglioni incarnait Margaux, une femme fragilisée par une histoire d’amour compliquée. Un rôle plutôt proche de celui qu’elle incarne dans Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part d’Arnaud Viard, drame familial en salles ce mercredi 22 janvier. Dans le long-métrage, la compagne de Laurent Delahousse est Juliette, écrivaine en devenir et bientôt maman pour la première fois à 40 printemps. Son personnage, comme tous ceux qu’elle a pu incarner dans sa carrière, l’actrice de 43 ans l’a travaillé profondément. Mais hors de question pour elle de puiser dans sa propre expérience pour transmettre de l’émotion aux spectateurs.
Faire la part des choses
En 2009, quelques mois seulement après la naissance de son premier enfant Charlie, Alice Taglioni perdait brutalement son compagnon, Jocelyn Quivrin, dans un accident de voiture. Et loin d’elle l’idée de se remémorer ce drame personnel pour interpréter son personnage de Juliette dans Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part : « Je ne me sers absolument pas de ce qui a pu m’arriver. Je ne suis pas maso », confie-t-elle au Parisien. Elle a au contraire trouvé un autre moyen pour toucher du doigt ses objectifs professionnels : « Je travaille beaucoup avec un coach. Parce que tout ceci est comme une partition. J’ai fait beaucoup de piano, alors je sais de quoi je parle, explique-t-elle toujours au quotidien. On travaille, on travaille, on travaille et après, ça coule de source ». On n’aurait pas dit mieux…
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