Quand Valérie Trierweiler trouvait refuge à la Lanterne après son hospitalisation

Il y a six ans, Closer révélait au grand public la liaison entre François Hollande et Julie Gayet. La compagne du président, éprouvée par cette annonce, était partie quelques jours s’isoler dans l’une des résidences secondaires des hommes d’État, la Lanterne.

Le 9 janvier 2014, le GayetGate secouait la France. La révélation par le journal Closer de la relation entre le président François Hollande et l’actrice Julie Gayet frappait l’Élysée et celle qui était alors Première Dame, Valérie Trierweiler.

Après un passage à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, la journaliste de Paris Match, secouée par ces informations, avait décidé de s’éloigner du Palais présidentiel et de François Hollande. Elle avait alors trouvé refuge à la Lanterne, l’une des résidences secondaires bien connues des chefs d’État, située à proximité du parc du château de Versailles.

À l’époque, RTL avait consacré un article pour revenir sur l’histoire de cet ancien pavillon de chasse de 4 hectares, cher à Nicolas Sarkozy et au couple Macron notamment. Là-bas, Valérie Trierweiler espérait y trouver calme et repos, rappelait l’article. Elle y était surtout à l’abri de tous les regards, car le bâtiment est très sécurisé et ses occupants totalement protégés. La demeure est à l’abri des regards indiscrets grâce à un haut mur d’enceinte et son survol en avion est interdit, précisait alors RTL.

Reste que Valérie Trierweiler a dû retrouver des souvenirs avec François Hollande dans cette résidence.Le couple présidentiel avait passé ses congés d’été là-bas en 2013, soit quelques mois seulement avant la révélation de l’idylle entre la femme de l’ombre, Julie Gayet, et le président, et même leur Noël en décembre 2013.

Quelques jours à peine ce passage à La Lanterne, le chef de l’État François Hollande annonçait la fin de sa vie commune avec celle qui était sa compagne depuis 2010. Après le départ de Valérie Trierweiler, François Hollande est resté seul à l’Élysée. Il assure que pendant la présidence, le chef de l’État « n’a de toute manière plus d’intimité ».Ce choix a aussi été clairement assumé par Julie Gayet, toujours très éprise de l’ancien compagnon de Ségolène Royal.

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