Lorie raconte avoir frappé un photographe : "Et pan ! Derrière la tête !" (VIDEO)

Lorie a fait des révélations fracassantes au micro de RTL.

Ce week-end des 18 et 19 janvier, c’est Lorie Pester qui répond aux questions de Jade et Eric Dussart dans On refait la télé sur RTL. Et la chanteuse et actrice y a fait des confidences… fracassantes ! Fin novembre dans cette même émission, son ex, Garou, avait raconté comment tous deux avaient autrefois fait pleurer un photographe qui les traquait à l’aéroport de Montréal.

Loin de minimiser son rôle dans cette histoire, Lorie a assumé recourir à la violence quand elle a affaire à des paparrazzi. « Très souvent, je me tape avec eux », a-t-elle ainsi lâché au micro de RTL. « Je joue le jeu des médias, quand on me pose des questions je réponds… C’est le jeu quand on est artiste. Mais à un moment donné, c’est important aussi de garder notre jardin secret », s’est justifiée la jeune femme. « On n’avait plus un moment à nous, et puis ils n’étaient pas discrets. Ce n’est pas juste qu’ils prennent des photos, ils nous narguent aussi… », a-t-elle poursuivi, avant de raconter la fameuse altercation dont avait parlé Garou.

« Ce photographe, à l’aéroport de Montréal, j’avais acheté des trucs en duty-free, je suis arrivée par derrière et pan ! Derrière la tête ! », a raconté Lorie, mimant un coup de sac. « C’est ma vie perso, ma vie privée, je viens de me taper 8 heures de vol […], j’ai pas forcément envie qu’on me voie dans cet état-là », a plaidé celle qui inspirerait depuis une certaine crainte aux photographes.

« J’en ai croisé un il n’y a pas très longtemps, j’arrive vers lui et c’était rigolo parce qu’il me dit [Lorie imite le photographe, les mains en l’air] : ‘J’ai rien fait, j’ai rien fait ! […] On sait que tu nous tapes’. Voilà, c’est le mot qu’ils se passent. Je ne me laisse pas faire », a confié la chanteuse et comédienne de 37 ans. Malgré cette réputation, Lorie, qui ne veut pas parler de l’homme qui partage aujourd’hui sa vie, ne s’est pas complètement débarrassée des chasseurs de photos volées.

Toutefois, elle essaie de ne plus laisser leur présence gâcher son existence au quotidien. « La toute première fois où j’ai eu affaire aux paparazzi, j’étais en vacances […] et je ne suis pas sortie de l’hôtel pendant trois jours parce que je pleurais, […] je devenais parano », s’est-elle souvenue. « Mais il faut vivre avec, même si ce n’est pas forcément évident. »

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