Brigitte Macron était l’invitée de Gilles Bouleau dans 20h le mag sur TF1 ce jeudi 16 janvier. L’occasion pour la Première Dame de se confier sur son rôle, et surtout, de répondre aux critiques dont elle est victime, comme par exemple les insultes du président brésilien Jair Bolsonaro il y a quelques mois. Non Stop People vous en dit plus.
En septembre dernier, Brigitte Macron était devenue la cible du gouvernement brésilien alors qu’Emmanuel Macron critiquait ouvertement Jair Bolsonaro sur sa gestion des feux qui sévissaient alors en Amazonie. Le président du Brésil n’avait pas hésité à se moquer ouvertement du physique de Brigitte Macron, tout comme le ministre du Tourisme brésilien Renzo Gracie qui s’était lâché en interview avec le média UOL : « Je vais te poser une question : sa femme, elle est belle ou moche ? Vous coucheriez avec elle ? Si vous critiquez notre pays, préparez-vous à recevoir une tonne d’insultes et pareil pour vos proches. Le fait qu’il couche avec un dragon ne fait pas de lui un spécialiste en incendie. Elle est moche, mec ». Face à cet acharnement, Brigitte Macron avait rapidement répondu devant la presse : « Je ne veux pas en parler. Je le ferai peut-être quand ce sera le moment. (…) Entre la transmission des hôpitaux que Bernadette Chirac m’a transmis et Live, je suis très très occupée. Donc après il y a toutes les choses qui vous arrivent à l’extérieur, et je pense qu’il ne faut pas trop être centrée sur soi parce que sinon on n’avance pas. Et là j’ai envie d’avancer ».
« On n’a pas à parler de nous »
Invitée sur TF1 dans le 20h le mag ce jeudi 16 janvier, Brigitte Macron est revenue rapidement sur les propos de Jair Bolsonaro : « On n’a pas à parler de nous. De toute façon, mes problèmes, je me débrouille avec. Je n’ai pas à étaler mes états d’âme sur la place publique. Quand j’ai quelque chose sur le cœur, je me l’écris à moi-même ». Toutefois, Brigitte Macron se montre beaucoup moins compréhensive en ce qui concerne les critiques sur les réseaux sociaux : « C’est terrible. C’est invraisemblable. Cette violence verbale à l’abri de l’anonymat, ça, je trouve ça insensé. Je trouve insensé que l’on tolère l’anonymat. Puisque lorsqu’on reçoit des menaces verbales, il y a des sanctions judiciaires. Là, il n’y a rien. C’est-à-dire qu’on peut vous assassiner en toute liberté ».
Source: Lire L’Article Complet