Lundi 13 janvier, la reine d’Angleterre et les princes Harry, William et Charles se sont réunis pour une réunion de crise, concernant le souhait du couple Sussex de s’éloigner de la famille royale. Un événement auquel n’était pas conviée Meghan Markle.
Meghan Markle et le prince Harry auront finalement obtenu gain de cause. Et pourtant, tout laissait croire le contraire. Il y a une semaine, le couple Sussex, fraîchement rentré du Canada, annonçait sur Instagram leur souhait de ne plus faire partie des membres seniors de la famille royale britannique. Si Meghan Markle et Harry avaient néanmoins précisé continuer à soutenir la reine Elizabeth II, ils avaient fait savoir leur désir de partir vivre au Canada la moitié de l’année, et de devenir indépendants financièrement. Difficile de croire que la reine allait accepter une telle proposition.
Pourtant, le lundi 13 janvier, elle a reçu les princes Harry, William et Charles à sa demeure de Sandringham, et a finalement accepté de laisser son petit-fils et sa belle-fille partir. Une décision historique rendue publique sur le compte Twitter officiel de la reine peu après, à travers un communiqué. “Même si nous aurions préféré qu’ils demeurent à plein temps des membres de la famille royale, nous respectons et comprenons leur souhait de vivre une vie plus indépendante en tant que famille, tout en restant des membres estimés de ma famille”, a déclaré la femme du prince Philip, précisant qu’une période de transition va être mise en place.
Meghan Markle, persona non grata ?
Pourtant, il y avait une grande absente lors de cette réunion de crise : Meghan Markle ! De retour au Canada depuis quelques jours, la maman d’Archie Mountbatten-Windsor n’a pas eu le droit de participer aux pourparlers, ni par téléphone, ni par visioconférence. La raison selon le Mirror ? “Les responsables du palais se seraient inquiétés de savoir qui aurait pu écouter”, précise le média britannique. Le prince Harry a donc été seul pour plaider leur cause. Toujours selon le quotidien, il se serait rendu à Sandringham pour un entretien en tête-à-tête avec la reine deux heures avant l’arrivée de son père et de son frère. Il a ainsi pu se confier à cœur ouvert avec sa grand-mère, et semble avoir trouvé les mots justes pour obtenir la bénédiction d’Elizabeth II.
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