Invité de Sonia Devillers sur France Inter, Stéphane Bern n’a pas caché son agacement envers la décision du Prince Harry et de Meghan Markle de se mettre en retrait de leurs obligations royales.
Sonia Devillers avait convié Stéphane Bern ce matin dans L’instant M sur France Inter. Celui qui présentera, ce lundi 13 janvier 2020, un nouveau numéro de Secrets d’Histoire consacré à Marie Antoinette France 3, a bien sûr évoqué l’actualité royale qui agite l’Angleterre en ce moment. L’annonce du Prince Harry et de Meghan Markle de se mettre en retrait de leurs activités princières. Et le spécialiste des têtes couronnés est visiblement un peu en colère.
« Je m’explique ce séisme mais j’ai du mal à le comprendre personnellement si vous voulez. Je trouve que le prince Harry est sixième dans l’ordre de succession au trône. Ça ne va pas déclencher une crise constitutionnelle« , a tempéré Stéphane Bern avant de s’agacer un petit peu contre le couple princier. « Ils sont complètement déconnectés des réalités. Le prince Harry qui veut travailler tout en gardant son titre… Il va faire quoi ? Un entretien d’embauche ? Il explique qu’il est duc de Sussex ? C’est quoi cette compétence ? Meghan a travaillé et gagné son propre argent. Mais c’est relatif l’indépendance financière quand vous avez hérité de Diana, 30 millions d’euros sur votre compte en banque. J’ai un peu la dent dure évidemment mais ça parait quand même incroyable« , a-t-il vivement commenté au micro de Sonia Devillers.
« Le prince a trahi la reine«
Et le présentateur de France Télévision n’est pas forcément plus tendre avec la princesse. « Ce que j’ai envie de dire à cette chère Meghan, c’est que quand vous épousez le prince Harry, vous épousez 66 millions de sujets britanniques qui vont dévorer, chaque matin au petit déjeuner, tous vos faits et gestes. Elle veut partir et se protéger de cette intrusion médiatique. Sur le fond il n’y a aucun problème. C’est la forme. Elle ne dit rien à personne et elle poste ça sur Instagram« , a-t-il enchainé tout en s’amusant du fait que les tabloïds anglais ne s’empêcheraient pas de les suivre au Canada, où ils comptent passer une partie de l’année. Car s’est évidemment dans les journaux que se joue l’opinion publique et si « il n’y a aucun enjeu politique, psychologiquement, le prince a trahi la reine et ça, ça ne passe pas. La presse est unanime : on n’a pas le droit de quitter la reine« , a conclu Stéphane Bern visiblement très en forme !
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