Mariés au premier regard : Charline et Vivien, des époux toujours heureux !

Le couple est le seul qui n’a pas divorcé depuis la saison 3 de Mariés au premier regard, diffusée en 2019, et dont la nouvelle édition est diffusée à partir de lundi 13 janvier à 21 h 05 sur M6. Charline et Vivien évoquent leur love story.

Comment allez-vous depuis la fin de votre participation à Mariés au premier regard vue en 2019 ?

Charline : J’ai quitté mon appart’ et mon travail à Carcassonne pour Toulouse. Après avoir vécu séparément, nous avons emménagé ensemble. Entre nos chats, ce n’est toujours pas l’amour fou.

Vivien : Nous sommes mariés et c’est super. Nous avons des projets mais nous ne pouvons pas trop en dire pour l’instant.

Comment s’est passé l’après-tournage ?

C. :  Un peu comme un baby blues. Les émotions retombent, le quotidien s’enchaîne, avec des hauts et des bas. J’avais vu toutes les qualités de Vivien et, d’un coup, j’ai découvert ses défauts. On s’est laissé des jours off.

V. : Je n’avais jamais vécu en couple. J’étais un geek qui aimait faire la fête. On m’a présenté Charline, qui est plutôt… carrée. Je me suis dit : "Ouh là ! comment je vais gérer ?"

Pourtant, vous êtes les seuls non divorcés de la saison 3…

V. : Nous avons vite pris conscience que c’était à nous de construire notre histoire. Il faut gérer le retour à la réalité.

C. : Nous avons beaucoup communiqué car nous savions que nous aurions un travail à faire sur nous-mêmes. Ce n’est pas parce que nous étions mariés que c’était du tout cuit. On ne se connaissait pas !

Avec le recul, comment jugez-vous l’expérience ?

V. : C’est une très belle expérience humaine. Nous sommes régulièrement en contact avec les autres participants, la production, les experts… Le psychologue Pascal de Sutter nous appelle une fois par mois.

C. : L’accompagnement est très important, même après.

Que conseilleriez-vous aux nouveaux candidats ?

C. : De rester eux-mêmes.

V. : De sortir de leur zone de confort. Vingt-quatre heures avant le mariage, j’ai failli renoncer. C’est mon témoin qui m’a mis un coup de pied aux fesses en me disant : "Tu vas peut-être passer à côté de quelque chose d’extraordinaire."

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