Deux ans après la mort du Taulier, on en apprend chaque jour un peu plus.
Récemment, c’est l’animateur phare de France 2, Nagui, qui se confiait sur Johnny Hallyday. Il raconte souvent quelques anecdotes ou s’amuse avec les candidats. D’ailleurs, l’ambiance est toujours bonne enfant. Le 31 décembre dernier, dans son émission « N’oubliez pas les paroles », Nagui avait partagé une touchante anecdote sur la timidité de Johnny Hallyday qui est décédé en décembre 2017 des suites d’un cancer. Loin des lourdes controverses autour de son héritage qui se jouent devant la justice à Paris, Nagui se souvenait : « Même quand il n’était pas sur scène, il dégageait une aura, une magie, une présence incroyable. »
Pour l’animateur de France 2 , « Johnny était le garçon le plus adorable de la planète, même timide ». Et Nagui parle en connaissance de cause car il avait déjà eu la chance de recevoir le papa de Jade et Joy sur son plateau, dans son émission Taratata : « Il se tourne vers moi, il me fait : ‘J’ai le trac’» a confié Nagui. Un comble pour une star avec son expérience qui avait pour habitude de remplir des stades. Durant l’émission, la Maestro Margaux était revenue sur le jour où elle a croisé le chemin de Johnny Hallyday lors d’une promenade avec sa famille : « J’avais trop envie d’aller lui parler mais je n’osais pas le déranger » a-t-elle confié.
Aujourd’hui, mardi 7 janvier, la France entière repense tout naturellement aux attentats de Charlie Hebdo et de l’Hyper cacher il y a déjà cinq ans. À cette occasion, Frédéric Zeitoun, revient sur cet épisode tragique dans l’émission Télématin sur France 2. Il évoque notamment les coulisses de la chanson « Un Dimanche de janvier », interprétée par Johnny Hallyday un an après les attaques. À Los Angeles, devant les images du massacre, le Taulier s’est indigné. Il lui fallait un titre pour évoquer cette mobilisation des Français. Il demande alors à Jeanne Cherhal et Maxim Nucci, ses amis de toujours de composées une chanson pour commémorer ce tragique événement :« Je n’y étais pas, mais j’aurai aimé y être », lance Johnny Hallyday.
Mais la maison de disques préconise de réaliser une version à la troisième personne et Johnny Hallyday s’emporte : « Ces événements-là m’ont profondément bouleversé, je veux chanter comme si j’y étais parce qu’avec le cœur j’y étais ». Un an plus tard, Johnny Hallyday chantait devant la France entière et le président de l’époque, François Hollande. On se souvient des mots : « J’avais ta main petite dans la mienne recroquevillée, nos cœurs battaient de plus en plus vite ce dimanche de janvier ».
Fallon C.
Source: Lire L’Article Complet