La comédienne souffre de graves séquelles d’une chute dans son domaine viticole de Pantelleria…
Elle sera à l’affiche en 2024 de La Maison, une série qui sera diffusée sur la plateforme Apple TV +. À 66 ans, Carole Bouquet fait toujours autant rêver les réalisateurs, même si l’actrice viticultrice préfère sans doute son domaine de Pantelleria, une île proche de la Sicile, aux plateaux de tournage ! Or sa grande passion lui cause pourtant d’atroces souffrances depuis dix ans. « J’ai une douleur qui, malheureusement, ne me quitte pas« , vient-elle de confier dans Gala.
Cauchemar
Qu’est-il arrivé à la comédienne, actuellement sur la scène de La Scala dans Bérénice de Jean Racine ? Eh bien, en octobre 2013, Alessandra Sublet demande à la star d’être l’une des premières invitées de sa nouvelle émission, Fais-moi une place, diffusée sur France 5. Pour réaliser cette interview, toute l’équipe se retrouve dans le havre de paix de la belle Carole, sur l’île si chère à son cœur où elle produit son propre vin. « C’est comme un rêve, s’est d’ailleurs enthousiasmée l’ex-compagne de Gérard Depardieu dans les pages de notre confrère. C’est presque l’idée d’un pays qui n’existe pas et qu’on invente. Ça ressemble à quelque chose de mythologique.«
La rencontre entre la présentatrice et l’artiste aurait donc dû se dérouler sous les meilleurs auspices, baignée par un soleil généreux, voire arrosée d’un délicieux nectar… Hélas, le tournage de ce nouveau programme prometteur tournera vite au cauchemar : « Carole est malencontreusement tombée dans les vignes en me raccompagnant dans ma chambre le premier soir, a raconté la présentatrice dans TV Mag. Elle a eu douze points de suture et un mois et demi de repos. » Une chute épouvantable qui retardera les prises de vue de six semaines et choquera terriblement Alessandra Sublet. Celle-ci s’en souvenait avec horreur lors de son passage dans une édition de Vendredi soir avec Arthur, sur TF1 : « Elle [Carole Bouquet] avait une partie du visage tuméfié et en sang. J’étais un peu paniquée.«
Dans le meilleur des cas, la blessure aurait dû guérir tranquillement et ne pas laisser de séquelles à la maman de Dimitri Rassam et Louis Giacobetti… Mais un nerf a été touché et aujourd’hui la pauvre sexagénaire souffre encore le martyre, surtout lorsqu’elle est fatiguée : « Il y a des médicaments qui peuvent atténuer la souffrance, a-t-elle aussi expliqué dans Gala. Mais ils ne font pas bon ménage avec la mémoire. Et sur scène, je me vois mal avoir un trou de mémoire. »
Anne de JOYEUSE
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