Sylvie Vartan est en couple avec Johnny Hallyday lorsque sa carrière explose au début des années 60. Et, si on en croit le confidences de la chanteuse ce samedi 21 décembre dans Samedi d’en rire sur France 3, le Taulier n’a pas apprécié l’un de ses succès d’alors. Trop osé à son goût.
On n’écoutera plus jamais ce tube culte de la même façon. Invitée de Samedi d’en rire sur France 3 ce samedi 21 décembre, Sylvie Vartan est revenue avec émotion sur sa carrière. Et, à l’évocation de ses débuts, la chanteuse a fait une confidence amusante sur l’un des premiers succès. Nous sommes en 1964 et Sylvie Vartan, alors âgée de 20 ans, cartonne avec le titre La plus belle pour aller danser. Sauf que le morceau n’est pas du tout du goût de Johnny Hallyday, avec qui elle est alors en couple.
Depuis leur rencontre en 1961, Sylvie Vartan et Johnny Hallyday vivent un amour passionné. Et le Taulier a un peu de mal à accepter que celle qui va devenir sa femme un an plus tard chante un morceau avec des paroles aussi suggestives. « C’était un peu osé tout en étant très juvénile, très jeune fille. Enfin, Johnny n’avait pas tellement apprécié, oui »confie Sylvie Vartan à Jean-Luc Lemoine. Si l’accroche de la chanson « Ce soir, je serai la plus belle pour aller danser », qui est restée gravée dans la mémoire collective, est toute mignonne, le reste des paroles écrites pas Charles Aznavour n’est en effet pas si innocent.
Jean-Luc Lemoine commence alors à rappeler alors les paroles du deuxième couplet : « Je fonde l’espoir que la robe que j’ai voulue et que j’ai cousue point par point sera chiffonnée… » Quand Sylvie Vartan l’interrompt d’un « Jusque-là, ça va », avant de plaisanter « C’est après que ça se gâte ». Et effectivement, ça commence à chauffer : « Et les cheveux que j’ai coiffés décoiffés par tes mains. » Des vers qui en disent long sur les désirs de l’héroïne de la chanson. Mais l’ex épouse de Johnny Hallyday précise qu’il y a en fait pire quelques couplets plus loin : « C’est, ‘Ce soir, tu peux cueillir le printemps de mes jours' ». Une évocation de la virginité et un appel aux plaisirs de la chair que le Taulier n’a pas vraiment aimé. Des paroles suggestives qui rappellent la double lecture des Sucettes à l’anis de France Gall, qui avait fait scandale à la même époque.
Crédits photos : Capture d’écran France 3
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