Laurent Ruquier signe son arrivée sur BFM TV ce lundi 25 septembre 2023. À quelques heures de ses débuts sur la chaîne d’information, l’animateur s’est exprimé dans les colonnes de Télé-Loisirs.
C’est le grand jour pour Laurent Ruquier ! Exit France Télévisions, le célèbre animateur s’apprête à faire sa rentrée sur BFM TV. C’est aux côtés de Julie Hammett qu’il co-présentera sa nouvelle émission Le 20h de Ruquier. À quelques heures de ses débuts sur la chaîne d’information, l’ancien acolyte a accordé une interview à Télé-Loisirs. Une occasion pour lui de se confier sur la nouvelle aventure qui l’attend. « C’est une tranche d’info et de débats d’une heure avec mon regard sur l’actualité. Il y aura les trois grands sujets du jour et des analyses avec des débatteurs. Je ferai parfois un petit pas de côté par rapport à l’actu traitée tout au long de la journée. Depuis quasiment 30 ans, je lis tous les journaux, tous les matins. Pas grand-chose ne m’échappe ! »,a-t-il notamment expliqué à nos confrères.
Ravi de partager l’antenne avec Julie Hammett, Laurent Ruquier a également souhaité mettre un terme aux rumeurs qui suggère qu’il déteste les duos. « Le samedi soir sur France 2, je l’avais démarré seul. Ne laissez pas penser que je ne suis pas capable de partager l’antenne : j’ai fait ça toute ma carrière ! Plus que d’autres même. J’ai fait découvrir plein de talents, y compris celui de Léa Salamé, donc ça ne m’embête pas du tout de partager l’antenne », a-t-il indiqué avant d’évoquer son salaire.
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Une affaire financière
« Je n’ai pas fait une affaire financière », a-t-il lancé non sans humour. Et de poursuivre : « Rien qu’en faisant uniquement Les enfants de la télé cette saison sur France 2, comme le souhaitait la chaîne, j’aurais mieux gagné ma vie que sur BFMTV. Ce n’est pas l’argent qui me motive. J’ai déjà bien gagné ma vie. À 60 ans, je veux faire des choses qui me plaisent et surtout être apprécié par les gens qui m’emploient. C’est mon moteur. Il y a trois règles : que je sois heureux, que les téléspectateurs soient suffisamment nombreux et que mes employeurs soient heureux aussi. Si ces trois règles-là sont respectées, tout le monde aura envie de continuer. » Voilà qui est dit !
V.B
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