Près de sept mois après l’accident provoqué par Pierre Palmade, un nouveau rebondissement concernant le bébé mort pourrait changer la donne concernant l’enquête comme l’a indiqué Le Parisien ce jeudi 21 septembre.
Le 10 février 2023, un accident de la route a fait basculer la vie de plusieurs personnes. Pierre Palmade était au volant du véhicule ayant provoqué plusieurs blessés dont un enfant mais également une femme enceinte qui a perdu son bébé. S’il s’est de nouveau fait hospitalisercet été à sa demande, l’enquête est toujours en cours en attendant son procès.
Deux semaines après les faits, BFM TV avait révélé que les premières analyses confirmaient que l’enfant était mort en raison de l’accident causé par Pierre Palmade. Né par une césarienne le soir de l’accident, le foetus était né « viable et vivant » selon le premier examen médical. De plus, aucune « malformation » n’est intervenue des suites de ce drame. Toutefois, des doutes ont été émis et de nouvelles analyses étaient demandées dont un examen anatomopathologique et une expertise de synthèse.
Un rebondissement de taille
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Ce jeudi 21 septembre, Le Parisien a fait de nouvelles révélations au sujet de la naissance du bébé de la victime de l’accident provoqué par Pierre Palmade. Selon nos confrères, une nouvelle experte médicale a été remise à la justice le 8 août dernier menée par trois experts dont un médecin légiste, un pédiatre et un médecin néonatalogue. Dans celle-ci, il a été mentionné que l’enfant n’avait en réalité présenté aucun signe de vie à la naissance.
La fillette qui devait s’appeler Solin-Hazal était bel et bien viable à la naissance bien qu’elle soit prématurée à 28 semaines. En revanche, le trio a été formel concernant son état à l’accocuhement : « L’état clinique observé chez l’enfant immédiatement après sone xtraction du corps utérin maternel est clairement et induscutablement celui d’un état de mort constitué : pas de réactivité motrice, pas de mouvement spontané réflexe de respiration ».
Le rythme cardiaque a été observé à cinq reprises après la naissance même si l’état de mort du bébé a eu lieu lors des dernières minutes de grossesse. De plus, la petite victime n’a présenté aucun signe de vie extra-utérine après sa naissance. Solin-Hazal a donc été victime d’une mort foetale in utero entre 21h50 et 22h10. La cause du décès aurait été provoquée par une hémorragie provoqué par l’accident. Un foetus n’ayant pas de disposition de personnalité juridique à la différence d’un bébé qui peut-être considéré comme un être vivant.
Face à cette nouvelle information, la mise en examen pour « homicide involontaire » de l’humoriste pourrait être requalifier en « blessures involontaires« . L’abandon des charges pourrait également réduire sa peine de dix ans à une durée entre cinq et sept ans. Toutefois, une contre-expertise est toujours disponible avant la décision finale.
JG
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