Ce samedi 10 juin 2023, Léa Salamé recevait “le taulier” de TF1 sur son plateau de “Quelle Epoque !” sur France 2. L’occasion d’aborder avec Nikos Aliagas sa récente décision de quitter l’émission “50’Inside” qu’il animait depuis 16 ans.
Après Camille Combal, Léa Salamé a décidé d’inviter une autre pointure de la première chaîne sur son plateau de Quelle Epoque !, ce samedi 10 juin 2023. Et pas des moindres… Nikos Aliagas. L’homme qui résiste au temps qui passe, à l’usure des audiences, d’abord révélé par Christine Bravo pour Union Libre sur France 2, où il représente la Grèce, puis par TF1 qui lui offre la présentation de la Star Academy en 2001. Aujourd’hui, l’homme qui a mené une carrière télévisuelle brillante a décidé de lever le pied et de renoncer à renouveler son contrat avec l’émission 50’Insidequi sera reprise en septembre par Isabelle Ithurburu, une transfuge de Canal+. Face à un plateau composé des politiques Aymeric Caron, député LFI et ancien chroniqueur de Laurent Ruquier aux côtés de Léa Salamé dans On n’est pas couché, et de l’ex-ministre Roselyne Bachelot, venue présenter le livre d’entretiens écrit par le journaliste Arnaud Wajdzik dans lequel elle évoque son parcours mais aussi entouré de l’écrivaine, ex épouse d’Igor Bogdanoff, Amélie de Bourbon-Parme ainsi que de la présentatrice météo Chloé Nabédian, qui a quitté France 2 il y a quelques mois pour se consacrer entièrement à son combat pour l’écologie, et de la glaciologue Heïdi Sevestre, Nikos Aliagas a tenu à expliquer son nouveau choix de vie. Photographe depuis plusieurs années, l’animateur star venait aussi parler de sa passion des clichés en noir et blanc, de ces portraits qui racontent une histoire et qu’il expose en Normandie, sous le titre Le Spleen d’Ulysse.Un nom évocateur de ses racines et philosophie grecques…
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“Je me suis planté cette année, je suis tombé de scène…”
Une passion qu’il tient à préserver, à laquelle il doit accorder plus de temps… sans faire le combat de trop à la télé, comme il l’explique : “Cette année, j’ai eu la Star Ac’ plus The Voice , c’est quand même beaucoup de préparation … Etre omniprésent à l’antenne, ça signifie aussi d’être physiquement là, je me suis planté cette année, je suis tombé de scène à un moment sur la Star Ac, je me suis fait très mal, je suis tombé de près de 2 mètres, je me suis déchiré les abducteurs, pété le pied, je suis remonté sur scène, j’ai fini l’émission. Parce que c’était ma façon à moi de m’accrocher et d’oublier la douleur… sauf qu’après, il a fallu faire toute la saison de The Voice.”, raconte le mari de la psychiatre Tina Grigoriou, avec qui il a deux enfants, Andrea et Agathe. Et d’expliquer son travail d’introspection : “Je me dis : ‘c’est beaucoup de choses, faut pas être plus gourmand que ses envies, il faut être dans une connaissance de soi. Le juste milieu c’est de savoir au moment où l’on est sur son chemin de savoir dire non, là j’ai fait ma part, maintenant je rentre. Ça ne sert à rien d’en faire trop, ni plus…”, explique en toute sagesse Nikos Aliagas.
Et de conclure qu’il n’est pas le seul à choisir dans cette histoire : “Et le téléspectateur, un matin, il va te voir une fois de trop, et il va dire : ‘il me fatigue le Grec’. Je préfère me tromper maintenant que je suis libre que plus tard quand je n’aurais plus le choix” Et de conclure sur le sujet : “Elle va me manquer cette émission, mais j’aurais plus de temps pour faire me photos…”Heureux qui comme Nikos…
F.V.
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