Dans le nouveau numéro de « Gala », Christophe Rippert donne de ses nouvelles ! L’ancien beau gosse de la série AB « Premiers Baisers » a complètement changé de carrière, bien loin des caméras.
C’est l’une des personnalités incontournables des années 90. Pendant sept ans, Christophe Rippert a campé le rôle de Luc dans la célèbre série AB Productions, Premiers Baisers. Désormais âgé de 50 ans, l’acteur a tiré un trait sur la comédie pour se consacrer à sa toute nouvelle carrière, celle d’entrepreneur. Le nouveau numéro de Gala paru ce jeudi 19 décembre 2019 lui consacre une page dans lequel il parle de sa nouvelle vie.
En 2002, il lance son agence de communication, globale Happy End, spécialisée dans l’univers du luxe. « À force de persévérance, Dior est la première marque de luxe à m’avoir fait confiance. Cartier et Boucheron ont suivi. J’ai d’ailleurs eu à ce moment-là près de trente-trois personnes à l’agence. » Fort de son succès, Christophe Rippert étend son entreprise et développe des « contenus vidéo et images« . « Tout ce que l’agence a gagné en dix-huit ans, je l’ai investi dans cette solution. Je n’ai rien à perdre.«
Avant de réussir, son parcours a tout de même été semé d’embûches comme il le rappelle. Après avoir succombé à la tentation en achetant « de très belles voitures de sport » entre autres, Christophe Rippert cherche à se « reconstruire« . Il reprend même le tennis, ses premières amours, délaissé à cause des tournages. « En 1997, me revoilà sur le terrain pour faire de la compétition, mais aussi pour donner des cours à Bois-Colombes. Je gagnais beaucoup moins d’argent qu’à la télé, mais pour la première fois, je me suis détaché de ‘moi, moi et moi’ pour transmettre ce que j’avais appris. Et j’ai retrouvé mon niveau d’antan.«
S’il est aujourd’hui très épanoui, l’ancien comédien ne renie pas pour autant ses années sur le petit écran. Bien au contraire, il en garde de très bons souvenirs. « J’ai vécu sept années merveilleuses chez AB, elles étaient magiques. Éphémères aussi, car elles sont passées si vite. Je m’amusais tellement, même si on bossait comme des fous. Entre la série et la musique, je gagnais très bien ma vie. » D’ailleurs, il n’exclut pas un possible retour devant les caméras, « si un beau projet se présente. » À bon entendeur.
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