VIDÉO – Yaël Braun-Pivet au bord du fou rire : elle se lâche en direct !

Ce jeudi 1er juin, Yaël Braun-Pivet était l’invitée de la matinale d’Europe 1. Lors de son passage, la présidente de l’Assemblée nationale a eu bien du mal à garder son sérieux en écoutant la chronique de Gaspard Proust.

C’est un passage qui demeure compliqué. Que ce soit avec Philippe Caverivière sur RTL ou Gaspard Proust sur Europe 1, les responsables politiques ont visiblement beaucoup de mal à rester sérieux lorsqu’ils assistent aux chroniques des humoristes des matinales radio. Yaël Braun-Pivet l’a une nouvelle prouvé, dans la matinale d’Europe 1, ce jeudi 1er juin. La femme politique de 52 ans est en effet restée « pour écouter Gaspard Proust« . Quelques secondes après avoir débuté sa chronique, l’intéressé est parvenu à déclencher plusieurs rires chez la présidente de l’Assemblée nationale. L’humoriste n’y est pourtant pas allé de main morte en évoquant les responsabilités de Yaël Braun-Pivet : « Je ne pourrais pas ! Déjà de un, parce que tu dois passer ton temps à mentir comme un arracheur de dents. Tu es quand même obligé de dire en public des trucs aussi gros que ‘c’est à vous, Mme Panot, on vous écoute.’ Quel être humain normalement constitué peut écouter Mathilde Panot ?« , s’est-il interrogé, cinglant.

Et Gaspard Proust de poursuivre : « C’est un poste où il faut avoir un self-control dont je serais incapable. L’obligation d’écouter parler des gens qui à 90% racontent n’importe quoi alors que toi, tu es en hauteur, entourée de gardes du corps, avec un marteau dans la main. En trois jours, moi je transforme les sans-culottes en sans-dents !« , a lâché l’humoriste, face à une Yaël Braun-Pivet hilare. Quelques instants plus tard, Gaspard Proust s’en est pris à la réforme des retraites : « Il ne faut surtout pas faire cette réforme. Il faut la retirer et laisser filer les déficits aux générations futures, il ne faut pas leur filer une patate chaude mais une tartiflettes sous stéroïdes« , a-t-il suggéré, alors que la présidente de l’Assemblée nationale était proche du fou rire.

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« C’est une drôle de question » : Yaël Braun-Pivet surprise face à Thomas Sotto

Quelques jours plus tôt, Yaël Braun-Pivet était l’invitée des 4V sur France 2. Dans son édition du 24 mai dernier, Le Canard Enchaîné se demandait si la présidente de l’Assemblée nationale n’était pas « une frondeuse au perchoir ? ». Nos confrères s’appuyaient sur les dires de collègues de la majorité présidentielle, ainsi que sur ses récentes prises de position, notamment autour de la proposition de loi du groupe Liot visant à abroger la réforme des retraites. Afin de mettre fin au suspense, Thomas Sotto est allé droit au but avec la femme politique : « Êtes-vous toujours macroniste ? », a-t-il demandé à Yaël Braun-Pivet.

L’ancienne avocate de 52 ans s’est montrée assez décontenancée face à cette interrogation. « C’est une drôle de question« , a-t-elle souligné, à deux reprises, à son interlocuteur. Ce dernier a fini par relancer le sujet en argumentant sur le pourquoi du comment de sa question : « C’est une question que se posent beaucoup de personnes, à commencer par Gérald Darmanin si on en croit Le Figaro. Visiblement, dans votre famille politique, certains en doutent. » Yaël Braun-Pivet a tenu à rappeler les raisons de son engagement : « Je me suis engagée car je croyais au dépassement des clivages, au rassemblement des idées, des énergies, plutôt qu’aux veilles querelles de partis. Donc je suis résolument engagée derrière le président de la République depuis six ans. Et aujourd’hui plus que jamais. » Une mise au point clarifiée dans la foulée par Thomas Sotto : « On peut ne pas être d’accord sur tout sans être déloyal pour autant. » C’est dit !

Crédits photos : Capture Europe 1

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PHOTOS – L’élection de Yaël Braun-Pivet, la punchline de Rachel Kéké… ces moments qui sont entrés dans l’histoire de l’Assemblée nationale

Yaël Braun-Pivet est la première femme présidente de l’Assemblée nationale. Son élection a eu lieu le 28 juin 2022.

Le 12 juillet dernier, le député LREM Rémy Rebeyrotte a fait un salut nazi à l’Assemblée nationale, destiné à d’un élu RN. Il a été sanctionné ce 25 juillet 2022 par un rappel à l’ordre.

La députée Delphine Batho a questionné Agnès Pannier-Runacher au sujet de la raison de son absence sur les dossiers Engie dans le contexte du débat sur la loi du pouvoir d’achat à l’Assemblée le 21 juillet 2022. La ministre de la Transition énergétique s’est justifiée, au bord des larmes : « Je vous remercie de mettre le doigt sur un élément personnel de ma vie. Je suis en situation de divorce avec mon mari, qui travaille chez Engie. La convention de divorce est déposée. Elle sera signée vendredi prochain. Je peux vous dire que se séparer de quelqu’un avec lequel on a vécu 30 ans et eu trois enfants n’est pas spécialement un événement heureux. »

Agacé par ce qu’il juge être « un relâchement vestimentaire » au sein de l’hémicycle, le député Éric Ciotti a adressé un courrier à Yaël Braun-Pivet le 21 juillet 2022, lui demandant de rendre obligatoire le port de la cravate en ce lieu.

Lors de l’examen du projet de loi pour le pouvoir d’achat le 21 juillet 2022, la députée Rachel Kéké, ancienne femme de ménage a fustigé : « J’aimerais savoir dans cet hémicycle qui a déjà touché 800 euros? Qui a déjà touché 900 euros? 1000 euros? Personne!«  Et d’ajouter : « Vous ne savez pas ce que c’est. Vous ne connaissez pas la souffrance des métiers essentiels. Quand on vous demande l’augmentation des salaires, vous parlez, vous n’avez rien à faire ici. Vous proposez des primes. »

Najat Vallaud-Belkacem se fait tirer la robe avec surprise par Emmanuelle Cosse, qui a remarqué qu’on voyait la culotte de sa consoeur dans l’hémicycle le 30 mars 2016.

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