Valérie Trierweiler, qui signe un nouveau podcast intitulé "Premières dames", dans lequel elle raconte les destins de cinq épouses de chefs d’Etat, s’est confiée sur ses fils, sa vision de la capitale, son "standing de vie", l’écologie… en interview pour le "Journal des Femmes".
Le Journal des Femmes : Comment vos fils (Anatole, 31 ans, Lorrain, 28 ans, et Léonard, 26 ans) ont-ils vécu votre entrée à l'Elysée ?
Valérie Trierweiler : Finalement, c'est le plus jeune qui a eu le plus de joie et de facilité à accepter cette situation. Cela a été plus difficile pour mes aînés qui ont voulu rester discrets, et même secrets !
Votre fils Léonard a quitté la France en 2018 pour travailler dans un restaurant new-yorkais, Le Bernardin. Était-ce un moyen de se protéger des caméras et de se décoller de l'image de "fils de l'ex-Première dame" ?
Valérie Trierweiler : Non, Léonard n'est pas parti à l'étranger pour fuir une situation. Il est parti à New York parce qu'il est tombé amoureux d'une Américaine qu'il a épousée et il y a eu une belle opportunité en tant que cuisinier.
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Il a d'ailleurs récemment annoncé qu'il rentrait en France, après ces quelques années passées aux Etats-Unis. Comment vivez-vous son retour ?
Valérie Trierweiler : Forcément, je suis la plus heureuse des mères de voir mon troisième fils revenir et voir mes trois garçons réunis ! Je suis une mère comblée !
"Les gens pensent que je suis bourgeoise"
Qu'est-ce que les gens pensent, à tort, sur vous ?
Valérie Trierweiler : Les gens m'imaginent avoir un certain standing de vie, être bourgeoise… Et ce n'est pas vrai ! En fait, j'ai adoré faire Pékin Express, je me déplace en vélo, je suis en baskets la plupart du temps… Si vous me proposez d'aller dormir dans un duvet quelque part devant un paysage magnifique, je dis oui tout de suite. On ne sait pas que je suis vraiment une aventurière et j'ai l'impression que cela ne fait que commencer !
De plus en plus de Franciliens s'éloignent de la région parisienne et choisissent un quotidien plus calme. Les comprenez-vous ?
Valérie Trierweiler : J'ai la chance d'avoir une maison en dehors de Paris, j'y vais régulièrement. Je pense que je ne pourrais pas être à Paris tout le temps, donc je comprends les Parisiens qui partent. Là, je rentre d'un raid dans le Sud de la France, j'ai vu des paysages magnifiques. Alors, on se dit : 'Après tout, pourquoi est-on à Paris tout le temps, dans la grisaille, les embouteillages, avec des gens qui ne sont pas toujours de bonne humeur ?'. Oui, la question se pose !
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Interview exclusive ne pouvant être reprise sans la mention du Journal des Femmes.
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