"Un chiffre d'affaires à six zéros" : Claude François Jr. balance sur l'héritage mirobolant laissé par son père Claude François !

Au cours de sa carrière, Claude François a amassé une jolie petite fortune qu’il a laissée à ses enfants. Un bel héritage qui permet à ses fils, Claude François junior et Marc, de vivre confortablement.

Le 11 mars 1978 est un jour que les mélomanes n’oublieront sans doute jamais. C’est à cette date que le chanteur, danseur, musicien et producteur Claude François est mort électrocuté dans sa baignoire à l’âge de 39 ans. Un choc pour ses fans, mais également pour ses proches. À l’époque, Claude François junior et Marc, les enfants de l’artiste, n’avaient que 9 et 8 ans. Un bien jeune âge pour hériter de la fortune de celui qui chantait Le téléphone pleure.

Procédure oblige, le fils aîné de Claude François se voit confier un « droit moral » sur les chansons de la star. Un droit qui lui permet d’utiliser le répertoire de son père, mais aussi son image et tout ce qui touche à la carrière de ce dernier. Grâce à cela, Claude François junior est à l’abri financièrement. « Un chiffre d’affaires à six zéros, plusieurs millions par an quand on compte tout : les ventes de disques, les droits d’exploitation, d’utilisation dans des films, des publicités, les reprises comme le disque de M. Pokora », confie-t-il dans les colonnes du Parisien.

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« 10 millions de francs de dettes »

Si Claude François junior est aujourd’hui à la tête d’une jolie petite fortune, il avait pourtant failli refuser l’héritage de son père. « La question de refuser la succession s’est posée. Mon père avait laissé près de 10 millions de francs de dettes, ce qui était une somme énorme en 1978. Il faut savoir que des vedettes de la chanson comme mon père ou Johnny avaient un train de vie de star américaine connue dans le monde entier alors qu’ils n’ont du succès que dans leur pays. Quand mon père est mort, un tuteur de biens a été nommé et un tuteur de personne, en l’occurrence notre mère a été désigné alors que nous étions mineurs. C’est ainsi qu’a été décidé rapidement de vendre le moulin de Dannemois, la résidence de mon père où il y avait un jardin, une piscine, 100 m2 à chauffer, deux gardiens, des frais d’entretien abyssaux. » Des dettes qui ont été effacées en un rien de temps.

V.B

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