À l’occasion de la mise en ligne de la série "Bardot" ce lundi 8 mai sur Netflix, Victor Belmondo, qui joue Roger Vadim dans le projet, a accepté de se livrer à nos confrères de Paris-Match. Le petit-fils de Jean-Paul Belmondo a indiqué si à l’avenir, selon lui, il pourrait y avoir une nouvelle Brigitte Bardot.
Un rendez-vous attendu par tous les fans de Brigitte Bardot. Ce lundi 8 mai, Netflix met en ligne la série « Bardot » réalisée par Danièle Thompson, en six épisodes. Dans ce projet, Victor, petit-fils de Jean-Paul Belmondo, joue Roger Vadim, le premier amour de l’icône emblématique du septième art. Un rôle dont il garde de très bons souvenirs et qu’il aurait accepté tout de suite.
En effet, interrogé par nos confrères de Paris Match, Victor Belmondo explique avoir « trouvé le scénario formidable tout de suite ». « Il était très bien écrit, et la question de le jouer ou pas ne s’est pas posé ! Sans compter que ce n’était pas n’importe quel projet. Je me suis dit : ‘c’est parti’ ! », a-t-il confié, enthousiaste, à nos confrères.
En plus des excellents souvenirs du projet, le comédien de 29 ans se réjouit d’avoir noué des liens très forts avec ses collègues de tournage. « On est restés une belle bande de copains. Que cela soit avec Julia de Nunez, Oscar Lesage, Noham Edj ou César Chouraqui, qui joue Christian Marquand, le meilleur ami de Vadim », assure-t-il avant de poursuivre : « Avec toute cette jeune bande, on est restés assez proches, soudés. Il y a eu un truc de camaraderie qui s’est passé sur le tournage et qui a perduré après ».
Brigitte Bardot, unique et irremplaçable
En côtoyant de nombreux grands acteurs à en devenir, celui qui interprète Roger Vadim a donné son avis sur l’avenir. Est-ce qu’une icône, ou une nouvelle « Brigitte Bardot », va-t-elle naître dans les prochaines années ? Sur ce point, le petit-fils de Jean-Paul Belmondo ne semble pas vraiment confiant.
« Je pense que c’est très différent aujourd’hui. La célébrité n’a rien à voir aujourd’hui avec celle de l’époque », constate-t-il avant d’argumenter : « Avant, il y avait un mystère qui rendait les stars mythiques, voire mythologiques. On les voyait beaucoup moins, et c’est ça qui fait qu’on les admirait autant ».
Le « problème » viendrait de l’émergence des réseaux sociaux et « l’omniprésence de la télévision, des émissions ». Une omniprésence qui empêche d’entretenir le mystère : « Il n’y aura plus de stars comme il y en a eu à cette époque-là ». L’avenir nous dira s’il avait raison ou tort sur ce point.
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