Dans une interview à Konbini, Léa Salamé a accepté de revenir sur sa jeunesse. La journaliste de France Inter a notamment expliqué pourquoi elle avait fait vivre un enfer à ses parents lorsqu’elle était à l’école.
Méfiez-vous des apparences… Si elle renvoie aujourd’hui l’image d’une femme sage et posée, Léa Salamé a, comme de nombreux adolescents, été rebelle lorsqu’elle était plus jeune. Dans le cadre du podcast Small Talk de Konbini, la journaliste de France Inter a accepté d’évoquer quelques souvenirs de sa jeunesse. Elle a notamment raconté qu’elle s’était fait virer de l’école jésuite où elle enseignait en raison de son comportement : « Je suis restée à Franklin, chez les jésuites, de la sixième à la troisième, avant de me faire virer pour indiscipline« , a-t-elle expliqué au journaliste David Castello-Lopes. « C’était quoi la bêtise que vous aviez faite ? Celle qui vous a fait virer ?« , s’est interrogé son interlocuteur. « On avait fait un cahier où on se moquait des profs« , s’est remémorée la compagne de Raphaël Glucksmann, précisant que « des horreurs » figuraient dans ce cahier.
Mais alors, comment Léa Salamé explique-t-elle le comportement qu’elle avait à l’époque ? « D’abord, j’avais du mal avec l’autorité« , a-t-elle admis. Et de poursuivre : « Ensuite, j’ai découvert les garçons et donc il fallait absolument plaire aux garçons« , a raconté la complice de Nicolas Demorand, qui en a fait voir de toutes les couleurs à sa mère et son père. « Mes parents se faisaient convoquer tous les deux mois, on leur disait : ‘Elle a encore dit…’, ‘elle bavarde en classe’, ‘elle dit des conneries’, ‘elle sèche’…« , a listé Léa Salamé. « J’ai vraiment fait vivre l’horreur à mes parents (…) Ils ont pété les plombs avec moi, mes parents« , a confié celle qui est aujourd’hui mère de famille. « J’attendais qu’ils dorment et je fuyais par la porte de service pour aller faire la fête… J’ai fait les pires horreurs« , a-t-elle détaillé à nos confrères de Konbini, précisant que sa crise d’adolescence avait été « très serrée« .
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Léa Salamé : pourquoi elle a changé de prénom
Dans cette même interview, Léa Salamé est revenue sur son changement de prénom. Celle qui s’est fait appeler Hala par ses parents a expliqué pourquoi elle avait pris cette décision radicale à l’adolescence : « Mon premier prénom est un prénom libanais, car je suis née à Beyrouth et je suis arrivée en France quand j’avais cinq ans parce qu’il y avait la guerre civile au Liban. Et donc à l’origine, mon prénom c’est Hala« , a-t-elle rappelé au micro du journaliste David Castello-Lopes.
Mais suite aux remarques désobligeantes de ses camarades de classe, la maman de Gabriel a préféré changer de prénom : « Or, Hala en français, on ne prononce pas le ‘H’ et quand je suis arrivée à l’école à Paris (…) On se moquait de moi, on se moquait de prénom. On me disait ‘Allahu akbar, tes parents t’ont appelée Dieu’. Ça me heurtait énormément« , a-t-elle expliqué. Pour traverser plus sereinement cette période difficile qu’est parfois l’adolescence, Léa Salamé a donc décidé de changer d’identité. « J’ai demandé à ma mère d’inscrire Léa Hala à l’école, et Hala Léa. J’avais 13 ou 14 ans« , a ainsi confié la collègue de Christophe Dechavanne.
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À la fin des années 1980, David Pujadas devient reporter sur TF1 avant de rejoindre LCI en 1994. Il a alors 30 ans et amorce une glorieuse carrière. En 2001, le journaliste rejoint France Télévisions et s’impose comme le maître de l’information. Côté style, peu de choses ont changé, à part ses lunettes, qu’il n’arbore plus.
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C’est en 1992, à seulement 23 ans que Christine Kelly fait ses premiers pas à la télé sur la chaîne Archipel 4, diffusée en Guadeloupe. Par la suite, elle quitte la présentation pour devenir journaliste. En 2000, à 31 ans, elle rejoint LCI. À 52 ans, si Christine Kelly a bien changé, elle n’a rien perdu de son charme.
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