Présente à Châteauroux à l’occasion du salon de la Santé ce samedi 11 mars, Laëtitia Milot a accordé un entretien pour évoquer la maladie dont elle a elle-même souffert. À savoir, l’endométriose. Une maladie qui ne lui a été diagnostiquée que tardivement.
Malgré son éternel sourire, Laëtitia Milot a longtemps souffert. Si, aujourd’hui, elle souffre toujours de la maladie, son traitement, « en continu », lui permet de vivre un quotidien presque normal. Mais ce samedi 11 mars, elle va sensibiliser des femmes dans le même cas qu’elle, au salon de la Santé de Châteauroux. En effet, depuis l’âge de 24 ans, la comédienne qui s’est fait connaître dans « Plus belle la vie », souffre d’endométriose. Mais au final, de quoi s’agit-il ?
Dans un récent entretien, l’actrice de 42 ans à la silhouette de rêve explique qu’il s’agit « d’une maladie gynécologique inflammatoire chronique ». Une maladie « très fréquente », qui peut être très « différente d’une femme à l’autre ». Par exemple, selon les dires de Laëtitia Milot, chez certaines femmes, l’endométriose peut ne « pas prendre tant de place que cela ». Alors que chez d’autres, au contraire, « peut rendre la vie invivable ». Notamment à cause des fortes douleurs que cela peut occasionner.
À voir également : « Badri a quitté le foyer conjugal », Laëtitia Milot évoque l’impossibilité pour son compagnon de rester à ses côtés pour des raisons de santé
Laëtitia Milot, diagnostiquée que très tardivement
« Cela peut aller de douleurs au ventre pendant les menstruations à des vomissements, des malaises, des maux de tête, et même jusqu’à des troubles de l’intestin, des poumons, voire, très rarement, du cerveau », détaille-t-elle auprès de nos confrères. La compagne de Badri l’assure, dans le cas où aucun traitement n’est pris, la maladie peut « grandir » et devenir « dangereuse » pour la santé. D’autant plus que l’endométriose peut avoir un réel impact sur la fertilité. Mais Laëtitia Milot est consciente, dans son cas, elle se sait chanceuse « d’avoir une fille ».
La comédienne de 42 ans prévient également que la maladie peut parfois être diagnostiquée tardivement. Dans son cas, on ne lui a diagnostiqué cette maladie « qu’au bout de sept ans », lorsqu’elle avait 24 ans. Chez elle, ce sont des « douleurs comparables à celles des contractions, pendant trois semaines-un mois », qui lui ont fait vivre l’enfer. Heureusement, il existe des traitements au « cas par cas ». Aujourd’hui, la maman de Lyana, après plusieurs opérations, est « toujours sous traitement » qui semble lui convenir.
R.F
Source: Lire L’Article Complet