Accusés d’être des parents indignes pour s’être reconvertis dans le porno, les Pellissard sont la cible de signalements anonymes. Au point que la police a débarqué pour interroger leurs huit enfants !
S’ils sont très ouverts sur leur nouvelle vie, les Pellissard en dérangent visiblement certains…
Public : Quel était le contexte de cette descente de police à votre domicile ?
Amandine : Le mercredi 15 février, la police a débarqué à la maison, alors que j’étais à Paris avec ma fille Léna. Ce sont mon mari Alexandre et les autres enfants qui se sont retrouvés nez à nez avec les forces de l’ordre. Moi, j’étais en haut-parleur depuis Paris.
Quelle était la raison de cette visite ?
Les policiers étaient là pour présenter une convocation en vue d’auditionner nos enfants au commissariat.
Quelle a été votre réaction ?
Je leur ai demandé : “Pardon, on peut comprendre, en fait ?” Et là, ils m’expliquent qu’il y aurait eu un signalement anonyme nous concernant auprès du bureau du procureur. Je doute franchement qu’il s’agisse d’un seul signalement, soit dit en passant.
“Nos enfants ne nous ont jamais filmés !”
Qu’est-ce qui vous fait penser cela ?
J’ai repéré sur un réseau social une page fan de Familles nombreuses : la vie en XXL, et bien entendu, nous sommes au cœur des discussions. Les intervenants sont souvent des femmes au foyer en mode haters qui n’ont rien d’autre à faire que de nous pourrir la vie par pure jalousie.
Vous voulez dire que ces femmes se seraient organisées pour transmettre en masse des signalements anonymes, façon corbeaux ?
Bien évidemment, elles ne s’en cachent même pas si vous lisez bien les commentaires.
Pourquoi ? Est-ce un jugement moral de leur part ?
Même pas. Je pense qu’il s’agit surtout de jalousie. Elles ne supportent pas que notre famille soit célèbre et ait pu évoluer financièrement grâce à notre activité un peu hors-norme. Ce n’est pas comme si c’était un phénomène nouveau.
Revenons à l’audition des enfants au commissariat : ont-ils été interrogés sans votre présence ? Que leur a-t-on posé comme questions ?
Oui, ils étaient seuls et appelés un par un. On leur a demandé si nous les enfermions à clé dans leurs chambres la nuit ou si nous nous promenions nus devant eux. On a également demandé à notre fils aîné si c’est lui qui filmait nos contenus.
Ce qui n’est pas le cas ?
Évidemment que non ! Ça m’énerve que vous puissiez me poser une telle question… Que les choses soient claires : jamais au grand jamais, nous n’avons impliqué nos enfants dans notre activité professionnelle. Jamais, nous n’avons enfermé à clé les enfants dans leurs chambres. En revanche, Alexandre et moi, nous nous enfermons lors de nos sessions de tournage.
Par Sylvain Monier
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