“Tant que je peux continuer…” : Anne-Sophie Lapix “extrêmement heureuse” de rester au JT

À l’occasion de la délocalisation en direct de Kiev du journal télévisé de France 2 jeudi 16 février, Anne-Sophie Lapix revient, dans les colonnes du Figaro, sur son avenir au sein de France Télévisions.

Malaimée par les politiques, Anne-Sophie Lapix serait bientôt être écartée du 20 heures de France 2. La rumeur est fausse. Mais elle a poursuivi la journaliste et présentatrice du journal télévisé pendant des mois. Au point de pousser France Télévisions à réagir publiquement. Fin janvier dernier, Alexandre Kara, directeur de l’information du groupe de télévision publique, a démenti les rumeurs dans les colonnes du Figaro. « Si on changeait de présentateur de JT à chaque fois qu’une femme ou un homme politique n’est pas content, nous n’aurions plus assez de journalistes pour présenter les journaux ! », tranchait-il alors, avant de confirmer qu’elle serait toujours à l’antenne pour la saison 2023-2024.

Une bonne nouvelle à laquelle Anne-Sophie Lapix répond à son tour. Toujours dans les colonnes du Figaro, la présentatrice du 20 heures de France 2 a partagé sa joie à l’idée de poursuivre au poste qu’elle occupe depuis septembre 2017. « Je suis évidemment extrêmement heureuse que la direction de l’information me fasse encore confiance », explique-t-elle à nos confrères. « C’est un exercice passionnant donc tant que je peux continuer, je le fais. »

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Anne-Sophie Lapix de retour en Ukraine

Il faut dire que la présentation du 20 heures de France 2 n’est pas un exercice si répétitif qu’il n’y paraît. En plus de l’actualité renouvelée chaque jour, Anne-Sophie Lapix répond également aux défis lancés par la chaîne. C’est ainsi en direct de Kiev qu’elle présentera le journal télévisé au soir du jeudi 16 février. Un pays en guerre où la journaliste se rend en réalité pour la deuxième fois. En mars 2022, quinze jours après le début de la guerre en Ukraine, c’était en direct de la ville de Lviv qu’Anne-Sophie avait présenté son journal.

Crédits photos : Gilles Gustine/FTV

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À la fin des années 1980, David Pujadas devient reporter sur TF1 avant de rejoindre LCI en 1994. Il a alors 30 ans et amorce une glorieuse carrière. En 2001, le journaliste rejoint France Télévisions et s’impose comme le maître de l’information. Côté style, peu de choses ont changé, à part ses lunettes, qu’il n’arbore plus.

La star de France 2, qui s’attache à percer les secrets du « monde merveilleux des affaires » dans Cash Investigation,a commencé sa carrière en 1983 sur la chaîne FR3 Caen. Puis, en mars 1990, à 27 ans, Elise Lucet prend les commandes du 19/20 sur la chaîne publique. Désormais âgée de 58 ans, la journaliste a totalement changé de look !

C’est en 1992, à seulement 23 ans que Christine Kelly fait ses premiers pas à la télé sur la chaîne Archipel 4, diffusée en Guadeloupe. Par la suite, elle quitte la présentation pour devenir journaliste. En 2000, à 31 ans, elle rejoint LCI. À 52 ans, si Christine Kelly a bien changé, elle n’a rien perdu de son charme.

Après des études de lettres et un master en sociologie politique, Apolline de Malherbe rejoint le groupe NextRadioTV. De 2008 à 2011, elle est correspondante de BFMTV à Washington et se dévoile au grand public en couvrant l’affaire DSK. Mais avant cela, en 2007, la journaliste a alors 27 ans et publie son premier essai Politiques cherchent Audimat, désespérément (Albin Michel). Côté style, Apolline de Malherbe arbore désormais un look plus moderne, mais le temps ne semble pas apparaître sur son visage.

Avant de s’imposer comme une journaliste phare du paysage audiovisuel français, Laurent Ferrari a rejoint l’équipe de Combien ça coûte ? comme chroniqueuse. De ses jeunes années, il ne reste que la couleur de cheveux. À 56 ans, Laurent Ferrari a bien changé, mais rayonne toujours autant.

Après neuf ans passés sur Europe 1, Caroline Roux débute sur le petit écran en tant que chroniqueuse dans l’émission Nous ne sommes pas des anges sur Canal + en 2005. Dix-sept ans plus tard, elle anime l’émission C dans l’air et est en charge des interviews politiques de Télématin. La journaliste n’a par ailleurs (presque) pas changé.

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