Alors qu’elle se rendait sur un marché avec ses gardes du corps, la duchesse a dû faire preuve de sang-froid…
Mardi 31 janvier. Kate Middleton se rend à Leeds dans le cadre de sa campagne de sensibilisation à la petite enfance, Shaping Us. L’opération est organisée par la Royal Foundation for Early Childhood, que beaucoup considèrent comme l’action la plus importante de la princesse de Galles. Ses premiers pas la mènent vers le marché. Le temps est clair. Une foule dense se presse, et la princesse décide d’aller à la rencontre des gens pour parler avec eux. L’assemblée a l’air pacifique, mais ses gardes du corps sont sur les dents… Soudain surgit un jeune homme avec un bonnet un peu trop enfoncé jusqu’aux oreilles. S’il a une allure un peu dépenaillée, il n’envoie aucun signe d’agressivité mais fait preuve en revanche d’une extrême nervosité. Est-il impressionné, anxieux ou malade ? Difficile à dire. Il appelle Kate.
« Est-ce que je peux prendre un selfie avec vous ? » lui demande-t-il, la voix tremblante. Immédiatement, l’épouse de William, qui aime les bains de foule, a l’habitude de « sentir » les gens, d’analyser leur comportement en une fraction de seconde. Elle comprend tout de suite qu’il n’est pas dans son état normal. Elle lui adresse un grand sourire en s’approchant et calme la situation en lui disant doucement : « Je vous en prie, ne vous inquiétez pas, tout va bien. Nous sommes tous un peu nerveux. » Les paroles ont eu un effet immédiat sur l’individu. Il a tenu son bras, visiblement ravi, et a fait un selfie : « Bravo, l’a remercié la princesse. Ravie de vous avoir rencontré. Prenez soin de vous. » La même journée, à son passage, une personne dans le public s’est mis à siffler la princesse ! Elle a fait mine de l’ignorer et a continué son chemin. Pourquoi lui avoir adressé ce son moqueur ? Selon toute vraisemblance, en s’en prenant à la femme la plus en vue du Royaume-Uni, l’individu a voulu montrer son opposition à une proposition de loi contre le sifflement. Les Britanniques voudraient le rendre illégal en le classant parmi les délits de harcèlement de rue.
JEAN MARC
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