Au cours de l’année 2022, plusieurs personnalités ont été invitées à s’exprimer sur divers plateaux de télévisions. C’est pourquoi, en cette fin d’année, la rédaction de Gala.fr vous propose de revenir sur les interventions télévisées qui ont marqué l’année.
L’année 2022 a été riche en évènements mais aussi en coups de gueule. Entre la crise sanitaire, les élections présidentielles – et législatives – et les autres faits d’actualités, les personnalités ont eu – à de nombreuses reprises – l’occasion de partager leurs opinions. Pour preuve, au sujet de la pandémie du coronavirus, Laurent Ruquier avait rapidement fustigé les propos d’Emmanuel Macron. Pour rappel, le président avait soutenu au Parisien qu’il avait « très envie d’emmerder les non-vaccinés« . Une prise de parole que l’animateur de la 2 avait réagi en précisant que ce n’était pas les non-vaccinés qu’il souhaitait emmerder mais plutôt « tous les médecins qui, au lieu d’être dans les hôpitaux, sont sur les plateaux de télévision depuis deux ans à nous raconter connerie sur connerie. »
À cela, l’élection présidentielle a également été au cœur de l’actualité. Et si les candidats en lice étaient en pleine campagne, un homme s’était attiré les foudres des citoyens. À savoir, Éric Zemmour, un coiffeur qui avait été victime de nombreuses attaques car il a le même nom que le leader de Reconquête. Face aux caméras de BFMTV, en février derneir, ce dernier avait publiquement souligné qu’il n’avait « aucun lien de parenté » avec le candidat. « J’exploite la marque parce qu’il s’agit de mon vrai prénom, le même que lui, mais je ne le connais pas« , avait-il clarifié.
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Les personnalités indignées par la mort de Lola
En cette fin d’année, la mort de Lola a véritablement ému tout l’Hexagone. À commencer par les personnalités politiques qui, à l’Assemblée nationale comme sur les plateaux de télévision, ont régulièrement évoqué cette affaire judiciaire. À l’instar de Mathilde Panot qui avait estimé que le Rassemblement national utilisait beaucoup trop cette triste histoire pour illustrer leurs propos. « Je ne suis pas d’accord pour qu’on instrumentalise un crime abominable« , avait-elle estimé sur le plateau des 4 vérités en octobre dernier, précisant par la même occasion que c’était tout bonnement « indécent » de vouloir expulser Dahbia B (la principale suspecte de ce crime et toujours présumée innocente) du pays.
Découvrez le reste des coups de gueule télé de l’année dans le reste de notre diaporama !
Crédits photos : Capture d’écran / France 2
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PHOTOS – Rétro 2022 : Retour sur les 20 coups de gueule télé de l’année
Le premier coup de gueule télé qui a marqué 2022 est bel et bien celui fait par Laurent Ruquier sur le plateau d’On n’est pas couché, le 8 janvier. Suite aux propos d’Emmanuel Macron – qui avait indiqué vouloir « emmerder les non vaccinés » -, l’animateur phare de France Télévision avait rapidement partager son avis sur le sujet.
« C’est pas en attirant l’attention des non vaccinés qu’on va me faire oublier ceux que moi j’ai vraiment envie d’emmerder : tous les médecins qui, au lieu d’être dans les hôpitaux, sont sur les plateaux de télévision depuis deux ans à nous raconter connerie sur connerie« , avait lâché Laurent Ruquier, révolté.
Toujours au sujet de la pandémie, Nadine Morano avait été conviée sur BFMTV afin d’évoquer la troisième dose de rappel contre le Covid-19. Face à la journaliste Apolline de Malherbe, la députée européenne avait rapidement fait savoir quelles étaient ses revendications sur le sujet.
« Je suis dans la même situation que le président de la République, je lui ai rappelé. J’ai eu le Covid, j’ai eu une dose de vaccin, j’ai été obligée d’avoir une deuxième dose sinon mon pass s’arrêtait donc je considère que c’est une vaccination administrative, obligatoire« , avait-elle scandé, avant d’ajouter, catégorique : « Moi je ne ferai pas de troisième dose«
Durant les mois précédant les élections présidentielles, les candidats étaient régulièrement présents sur les plateaux de télévisions afin de défendre leurs positions mais pas que… Certains en ont profité pour dévaloriser leurs adversaires. À l’instar de Valérie Pécresse qui, face à Laurence Ferrari en février dernier, avait tapé du point sur la table concernant la campagne fantôme d’Emmanuel Macron. Pour rappel, lors de cette intervention, le chef d’État n’avait toujours pas annoncé sa candidature.
« Je trouve ça tout à fait lâche de ne pas venir défendre, soi-même, son bilan. Aujourd’hui, on a besoin que ce bilan soit montré clairement aux yeux des Français et pas l’écran de fumée« , avait-elle lâché. Des propos cashs auxquels elle a précisé qu’Emmanuel Macron était « un président qui a peur de débattre » et « qui a peur d’affronter son bilan« .
En février dernier, alors en pleine campagne présidentielle, les noms des candidats alors en lice étaient sous le feu des projecteurs. Un fait normal en somme mais qui a agacé Éric Zemmour, un coiffeur qui a le même nom que le leader de Reconquête. Présent sur le plateau de BFMTV, ce dernier avait dénoncé les nombreux actes de vandalisme qui l’ont précédemment visé.
« J’exploite la marque parce qu’il s’agit de mon vrai prénom, le même que lui, mais je ne le connais pas« , avait-il clarifié. « Je suis coiffeur ambassadeur pour L’Oréal professionnel et j’habite sur la Côte d’Azur. La marque est déposée, c’est un groupe. Rien à voir avec le journaliste, une fois pour toutes, nous n’avons aucun lien de parenté« . Une prise de position qui était, à son sens, essentielle.
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