A la fois artiste, mannequin et influenceuse, la violoniste Esther Abrami est une jeune femme bien ancrée dans son temps, La manufacture Zenith ne s’y est pas trompée en nommant ce talent hors du temps «DREAMHER 2022 ».
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A 26 ans, Esther Abrami a rejoint l’équipe des ambassadrices « Dreamher 2022 », un événement organisé par l’horloger de luxe Zenith à Singapour. Le but de » MEET THE DREAMHERS » ? Mettre en lumière six femmes exceptionnelles.
« Je suis extrêmement fier d’accueillir des femmes aussi exemplaires, prouvant au monde entier qu’aucun rêve n’est trop grand et que si l’on vise une étoile en agissant avec passion et intégrité, on peut l’atteindre !», déclare avec enthousiasme Julien Tornare, le CEO de Zenith. Ces propos illustrent parfaitement le parcours hors du commun de leur nouvelle ambassadrice. Derrière sa beauté délicate lui conférant de faux airs d’Audrey Hepburn, se cache en réalité une jeune artiste à la force de travail et à la détermination hors du commun lui ayant permis de réaliser tous ses rêves. Avec plus de 380.000 d’abonnés sur TikTok, 256.000 sur Instagram et des milliers de vues sur Youtube, la jeune française originaire d’Aix en Provence, est la violoniste la plus connue des réseaux sociaux et partageant sa passion avec le plus grand nombre. Rencontre avec une jeune femme passionnée et passionnante.
GALA : Comment est née votre passion pour le violon ?
ESTHER ABRAMI : Tout commence à l’âge de trois ans, lorsque ma grand-mère m’a offert mon premier petit violon. Je me souviens qu’elle essayait patiemment de m’apprendre à le tenir correctement. Elle-même était une violoniste très douée, mais comme c’était la coutume à l’époque, elle a tout abandonné lorsqu’elle s’est mariée. Ce n’est qu’à l’âge de dix ans, lorsque j’ai tenu pour la première fois un violon, que ma vocation s’est révélée comme une évidence. Malgré les obstacles je n’ai jamais lâché, car je savais que c’était ce que je voulais faire pour le reste de ma vie. Cela m’a demandé beaucoup d’investissement, mais à force de travail, ma détermination a fini par porter ses fruits, puisqu’en 2017 j’ai été acceptée comme étudiante au Royal Collège of Music à Londres.
Comment est venue votre envie de partager votre passion sur les réseaux sociaux ?
Lorsque j’étais à Londres pour mes études, j’ai connu une grande solitude. Pour la première fois de ma vie, j’étais séparée de ma famille et les réseaux sociaux m’ont permis de partager ma passion et surtout de créer une communauté. J’ai pu ainsi faire découvrir le violon au plus grand nombre et depuis ma vie est un rêve éveillé : cela me permet de parcourir le monde et de jouer sur les plus grandes scènes.
Comment expliquez-vous cette passion pour la mode ?
C’est un milieu qui m’a toujours attiré. Enfant, j’essayais d’imaginer des robes avec tel ou tel tissu. Si beaucoup jugent la mode superficielle, pour moi c’est un art. Je prends toujours le plus grand soin à choisir ma tenue de scène. Cela me permet d’exprimer ma personnalité, c’est une véritable forme d’expression de soi, surtout à notre époque.
Parlez-nous de votre participation aux « Dreamhers 2022 » organisé l’horloger Zenith ?
Je suis honorée d’avoir été sélectionnée pour cet événement avec les autres « Dreamhers », Catie Munnings, Lola Rodriguez, Chiaki Horan, Sheila Sim, et Melody Hsu. Ce sont des femmes hors du commun et de très belles rencontres ! Bien sûr nous venons d’univers et de milieux complètement différents, mais la relation que j’ai cultivée avec elles, je la garderai pour le reste de ma vie et j’espère les revoir bientôt. Zenith est une marque qui s’aligne sur les mêmes valeurs que moi, j’aime leur élégance et leurs valeurs, ainsi que le design de leurs montres. En particulier celui de la Zenith Defy Midnight, qui est une montre à boîtier en acier dans une lunette en diamant. J’ai adoré la porter !
Crédits photos : DR
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