Décothérapie : 12 conseils pour une vie plus belle

Aménager et (re)décorer sa maison peut aider à vivre plus harmonieusement, dedans comme dehors ! Nos conseils pour améliorer son confort et son bien-être !

Avec le Dr Alberto Eiguer, psychiatre et psychanalyste

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Le covid et les confinements à répétition nous ont obligées à surinvestir nos intérieurs, où l’on passe de plus en plus de temps, y compris en télétravail. Mais pour les psychanalystes, la maison a toujours tenu lieu de refuge, une « troisième enveloppe » qui nous protège, après la peau et les vêtements. Et qui trahit notre personnalité ; entre la minimaliste qui adore l’ordre et l’épure, celle qui accumule bibelots et souvenirs ou celle qui change les meubles de place tous les six mois, on voit bien que l’on n’a pas affaire à la même personne. Notre décoration résulte de choix conscients et inconscients, qui révèlent aussi nos priorités : si on investit beaucoup pour aménager la cuisine ou le salon mais que notre chambre à coucher n’a pas bougé d’un iota depuis 15 ans, ça peut vouloir dire par exemple qu’on privilégie les autres (famille, amis qu’on reçoit…), au détriment de notre intimité qui ronronne. « Travailler sur son intérieur est une porte d’entrée pour apprendre à mieux se connaître », résume Anne-Laure Rusak, décoratrice d’intérieur.

Mais ça marche dans les deux sens : si nos aménagements intérieurs reflètent notre état d’esprit, ils peuvent aussi influer sur notre humeur et notre moral. « Tous les éléments de notre déco (couleurs, formes, matières, éclairage, objets…) nous imprègnent et jouent sur notre bien-être, même si à force de vivre dedans, on a l’impression de ne plus les voir », avance Alexandra Viragh, conseillère en psychologie de l’espace, qui a créé le concept de psycho décoration. Un principe qui nous incite à regarder notre lieu de vie en nous posant les bonnes questions et à appliquer petits ou gros changements afin de s’aménager un espace épanouissant et en accord avec nos aspirations.

Un outil pour se sentir plus en harmonie

Si elles puisent leur inspiration dans le Feng Shui, art d’origine chinoise qui a pour objectif d’équilibrer l’énergie d’un lieu ou d’une pièce pour que ceux qui y vivent s’y sentent bien, la « psycho-décoration » ou la « déco-thérapie » le modernisent, avec une approche très ancrée dans nos préoccupations actuelles et dans le développement personnel. Tester de nouvelles couleurs, changer l’organisation d’une pièce ou ajouter quelques éléments naturels est une façon simple de se créer un environnement « feel good » et de s’affirmer, sans prendre trop de risques. Mode d’emploi et conseils de pro pour trouver l’équilibre chez soi.

J’ose le DIY, ça améliore la confiance en soi

Choisissez l’activité qui vous donne envie et vous semble la plus accessible : peindre une carte à l’aquarelle, confectionner des coussins pour le canapé, repeindre un vieux meuble, composer un bouquet de fleurs, créer une tête de lit en papier peint… Puis piochez des idées et des tutoriels sur internet, Instagram, Pinterest… et listez le matériel et le temps dont vous aurez besoin. Pour progresser, essayez de consacrer régulièrement un moment à cette activité.

Pourquoi ça fait du bien ? Fabriquer soi-même des éléments de déco permet non seulement d’apporter une touche qu’on ne verra pas chez tout le monde, mais aussi d’en finir avec ses croyances limitantes (je ne suis pas douée de mes mains, je n’ai aucun talent, je n’ai pas d’imagination…). Rien de tel qu’ajouter une nouvelle corde à son arc pour se sentir fière et prendre confiance en soi.

Je mets ma touche personnelle, et je gagne en bien-être

Essayez autant que possible de vous entourer de ce que vous aimez, de ce qui vous touche vraiment. « Plutôt que d’accumuler des objets du commerce qui n’ont pas d’âme, choisissez de mettre en valeur seulement quelques objets, photos, souvenirs… qui racontent une histoire, vous ont provoqué un coup de cœur ou évoquent un moment positif pour vous », conseille Anne-Laure Rusak.

Pourquoi ça fait du bien ? Notre intérieur doit refléter notre personnalité plutôt que de reproduire les pages déco des magazines. En 2021, des chercheurs de l’Université du Texas ont étudié le lieu de vie de 286 personnes de plus de 65 ans. Ils ont pris des photographies des pièces où les individus passaient le plus de temps (généralement le salon) et ont découvert que certaines caractéristiques de leur personnalité étaient reflétées dans leur déco. « Les personnes, en adéquation entre leur personnalité et leur espace de vie, rapportent un meilleur bien-être et sont de meilleure humeur », concluent les auteurs. Objectif : se construire un intérieur authentique, qui nous ressemble.

Je travaille l’ambiance sonore et olfactive, détente assurée

Faites plaisir à vos sens ! Un plaid douillet ou un gros tapis au sol sous vos pieds, de la laine pour vos coussins l’hiver, du lin rafraîchissant l’été, des bougies, fleurs ou parfums d’intérieur adaptés à l’ambiance du moment… vont stimuler votre sensorialité. Jouez sur les textures, en équilibrant les matières chaudes (lin, coton, laine…) et froides (carrelage, béton, verre, bois…), les fibres synthétiques et naturelles. Travaillez aussi l’ambiance sonore, par exemple en concoctant une playlist de musique classique ou de sons de la nature pour vos moments calmes, ou en installant une couche d’isolant pour ne plus entendre les voisins du dessus qui vous tapent sur les nerfs.

Pourquoi ça fait du bien ? Quand on pense déco, on pense visuel. Mais les odeurs, sons, matières… jouent aussi sur l’atmosphère d’une pièce et la façon dont on s’y sent. « Même si on lui accorde moins d’importance qu’aux mots, la sensorialité occupe une place très importante dans le psychisme. Il est nécessaire de créer des endroits qui privilégient les sensations agréables, pour être en bonne intimité avec soi et avec les autres », note Alberto Eiguer.

Je me ménager un cocon pour mieux m’affirmer

Dessinez sur une feuille un plan de votre logement et tracez un rond de couleur pour représenter la place qu’occupe chaque habitant dans chaque pièce : cercle vert pour votre compagnon si c’est lui qui utiliser le bureau de la chambre, cercle orange pour les ados ou les petits-enfants si leurs affaires traînent dans le salon, etc. Observez si chaque personne, y compris vous, a sa place dans les pièces communes, ou si une couleur apparaît plus que les autres. Et si besoin, réfléchissez à comment rééquilibrer l’espace : créer plus de rangements dans la chambre des enfants, s’aménager un petit atelier dans le garage ou un coin du salon, coller deux bureaux face à face, etc. « Même si vous partagez l’espace, mettez-y votre empreinte, par exemple en plaçant une reproduction ou une photo qui vous inspire sur le mur face à vous lorsque vous mangez », conseille Alexandra Viragh.

Pourquoi ça fait du bien ? Il arrive que la répartition d’un lieu ne soit pas très égalitaire, et que certains habitants aient plus leurs aises que d’autres. Or, chacun a besoin d’un espace personnel pour vivre, travailler, développer sa personnalité… « Sentir qu’on a sa place dans sa propre maison est très important pour le bien-être et l’estime de soi », rappelle Alberto Eiguer, psychiatre et psychanalyste*.

Je joue avec les couleurs, cela décuple les émotions

On a souvent tendance à se brider côté couleurs car on a peur de se lasser, et d’avoir plus de mal à louer ou à revendre si on se lâche trop sur le vert pomme. Osez essayer ! « Après 50 ans, l’orange est très intéressant, car c’est la couleur du feu dans la nature, du dynamisme, de la jeunesse et de la joie », indique Alexandra Viragh. À adopter en touches de pêche, abricot ou orange plus vif, par exemple sur un plaid, des coussins, un vase, ou même un pan de mur. Pensez aussi au jaune, couleur de l’extériorisation et de la communication, qui encourage une vie sociale riche et active, notamment dans les pièces où vous recevez. Malgré ces grands principes, la couleur doit avant tout vous parler (voir encadré). Pour ne pas surcharger et risquer la faute de goût, limitez-vous à 3 ou 4 teintes par pièce, en prenant en compte la couleur des murs mais aussi des sols, meubles, objets et textiles. Elles peuvent être complémentaires (coussin jaune moutarde sur un canapé bleu canard) ou en harmonie ton sur ton (nuances de jaunes).

Pourquoi ça fait du bien ? « Chaque couleur est une vibration : elle émet des longueurs d’onde différentes qui entraînent une réaction physiologique du cerveau et du système nerveux. Voilà pourquoi certains se sentent apaisés ou au contraire heurtés par certaines teintes », rappelle Anne-Laure Rusak. Mais l’inconscient collectif, avec une dimension symbolique et culturelle qui varie selon les pays et les époques (le noir est par exemple la couleur du deuil chez nous alors que c’est le blanc en Chine), ainsi que notre histoire personnelle, jouent aussi. Et les réactions émotionnelles face aux couleurs sont propres à chacune. Il faut donc choisir celles qui suscitent chez nous des émotions positives : énergie, motivation, apaisement, etc.

Comment trouver la couleur qui me fait vibrer ?

Prenez un nuancier (sur internet ou dans les magasins de peinture) et observez chaque teinte une à une. Sentez celles qui vous attirent et celles qui vous rebutent, celles qui vous mettent en joie ou vous crispent… Sont-elles vives ou pastel, foncées ou neutres ? Vous sentez-vous mieux face au fuchsia ou au bleu turquoise ? « L’idée, c’est de sortir du mental qui nous dit que ‘le gris c’est triste’ ou ‘le jaune c’est trop criard’, et d’observer vraiment ses sensations, sans jugement », explique Anne-Laure Rusak. Maintenant, regardez celles qui se trouvent chez vous (murs, mobiliers, rideaux, linge de lit…). Est-ce en adéquation ? Si non, comment et dans quelles pièces pourriez-vous apporter les couleurs que vous aimez, ne serait-ce que par petites touches ?

Je soigne les sources de lumière… et mon humeur avec !

Évitez d’accumuler des rideaux qui assombrissent, préférez des voilages légers ou ouvrez-les au maximum. N’hésitez pas à installer plusieurs luminaires dans chaque pièce (sur pied, sur une table, applique au mur…) afin de varier l’intensité lumineuse selon vos besoins du moment. Oubliez les plafonniers, dont la lumière froide écrase. Rappelez-vous que les ampoules jaunes (2 000 à 2 500 k, pas plus) créent une atmosphère plus chaude que les ampoules blanches. « Allumer des bougies, la cheminée ou un poêle amène aussi de la vie et permet de compenser le manque de luminosité extérieure, surtout l’hiver », glisse Anne-Laure Rusak.

Pourquoi ça fait du bien ? Si une ambiance tamisée, idéale quand on veut lire, se reposer ou regarder un film, appelle à la détente et à l’introspection, s’exposer suffisamment à la lumière est essentiel pour se booster, garder le moral et bien dormir le soir. Celle qui entre par les fenêtres est la plus stimulante, mais on peut aussi tricher en cas d’intérieur sombre.

Je prends des risques, ça donne des ailes

Identifiez une problématique qui vous bloque : je n’ose pas affirmer mes goûts, j’ai peur de ne pas plaire, je n’aime pas le changement… Puis une chose que vous pourriez réaliser chez vous si vous n’aviez pas ce blocage, comme peindre un mur du salon en violet. Avant de vous lancer, notez ce qui arrivera si le résultat est réussi (j’adore, la couleur est magnifique) ou si c’est un échec (je n’aime pas du tout, c’est mal fait…), les conséquences (il faudra repeindre, ça me coûtera 50 ou 100 €), et des idées pour limiter le risque (faire un essai sur un bout de mur caché). Ensuite,, notez ce que vous aurez appris grâce à cette tentative (ce n’est pas si difficile de peindre soi-même, cette couleur me fait vraiment vibrer…), et réitérez l’expérience, en tentant le papier peint tropical dans votre chambre ou en ouvrant enfin la cuisine sur le salon.

Pourquoi ça fait du bien ? Notre intérieur est l’un des rares lieux où l’on est totalement libre, où on peut oser le changement sans trop de conséquences (au pire, on repeindra d’une autre couleur ou on revendra ce meuble si ça ne nous plaît pas). Une fois que vous aurez osé à la maison, cela peut vous donner envie d’essayer des changements aussi dans d’autres aspects de votre vie personnelle ou professionnelle.

Je range et … je m’allège de mes fardeaux

Essayez la méthode Marie Kondo, une Japonaise qui a sa propre émission Netflix. Attaquez-vous à une pièce ou un placard en suivant votre envie, et préparez quatre sacs ou cartons : à vendre, à donner, à jeter, à réparer. Regardez chaque objet ou vêtement en vous demandant : est-ce qu’il me procure de la joie, est-ce que je suis prête à m’en séparer, le donner/vendre, est-ce qu’il encombre la pièce ou est-ce qu’il a sa place, etc. Nettoyez en même temps que vous rangez (lavez les rideaux, dépoussiérez étagères et fonds de tiroirs…) pour faire place nette. Mieux vaut procéder à raison d’une pièce un week-end par mois plutôt que de vous lancer dans des rangements trop ambitieux que vous allez laisser en plan. Si vous avez du mal à vous séparer de certains objets qui ont une valeur affective ou symbolique, vous pouvez leur consacrer une boîte spéciale.

Pourquoi ça fait du bien ? Ça permet de faire du tri, au propre comme au figuré. De déterminer ce à quoi vous tenez et ce dont vous ne voulez plus, aussi bien dans vos placards que dans votre vie. Et de vous défaire de ce qui vous encombre physiquement et psychiquement. « Prendre des décisions sur ce qui nous plaît et nous correspond à l’instant T et se débarrasser du reste permet d’être plus en adéquation avec soi », note Anne-Laure Rusak. « C’est important aussi de savoir jeter ou donner, de ne pas trop s’attacher à des biens matériels ni leur donner une fonction qu’ils n’ont pas, et de ne pas garder par culpabilité, en dehors de quelques souvenirs », ajoute Alberto Eiguer.

Je libèrer le passage, histoire d’avancer

Assurez-vous qu’il n’y a pas dans votre salon ou votre chambre de zones inaccessibles (par exemple un interstice sombre derrière une commode placée en biais), déplacez ou enlevez certains meubles si vous avez tendance à vous y cogner ou s’ils vous obligent à vous faufiler. Vérifiez aussi que rien ne gêne l’ouverture en grand de vos portes et fenêtres.

Pourquoi ça fait du bien ? Selon les principes du Feng Shui, pour fluidifier la circulation de l’énergie (le Qi), rien ne doit faire obstacle ni nous obliger à un détour. Sinon, l’énergie négative stagne et s’accumule. « D’un point de vue psychanalytique, les gros meubles anciens et encombrants, représentent pour certaines personnes littéralement un poids qui les freine », observe Alberto Eiguer. À l’inverse, pouvoir circuler plus librement ramène du mouvement, de l’élan vital, et vous évite de rester bloquer dans certaines situations.

Je fais rentrer la nature et un peu d’optimisme aussi

Outre les plantes vertes et bouquets de fleurs fraîches, pensez aux jolies corbeilles ou paniers de fruits colorés de saison. Privilégiez le « vivant » plutôt que les fleurs séchées qui symbolisent une fin, un flétrissement, pas le renouveau. Vous n’avez pas la main verte ? Une petite fontaine, la photo d’un bel arbre, de la mer ou d’une rivière peuvent aussi servir de rappel à la nature.

Pourquoi ça fait du bien ? L’environnement dans lequel on évolue a un impact sur notre niveau d’énergie. Intégrer des éléments vivants met en joie et augmente le bien-être. « La nature est aussi un symbole de santé, de croissance et de renouvellement. Et son cycle sans cesse recommencé nous rappelle qu’il y a toujours de l’avenir, que tout évoluera même si on traverse une phase difficile… », analyse Alexandra Viragh.

Je m’entoure de belles images, ça réconforte

Observez toutes les peintures, affiches, photos, cartes postales… accrochées chez vous et demandez-vous si elles vous rendent triste, nostalgique, si elles sont là depuis plus de 10 ou 15 ans, si l’ambiance vous paraît sombre ou joyeuse, dans quel état d’esprit ont l’air d’être les personnages. Privilégiez les visuels qui vous apaisent, vous font rêver ou vous renvoient à des souvenirs heureux. Si les clichés d’êtres chers disparus ou de souvenirs suscitent de la mélancolie, réfléchissez à la possibilité d’en faire un album que vous regarderez quand vous en aurez envie plutôt que de les avoir sous les yeux en permanence. « Renouvelez de temps en temps ces images (photo d’une journée entre amis récente, affiche achetée dans une expo…) pour créer d’autres émotions, car à force de côtoyer nos tableaux sur nos murs, on finit par s’y habituer et ne plus les voir », conseille Alexandra Viragh

Pourquoi ça fait du bien ? Les images véhiculent des émotions positives ou négatives en fonction des souvenirs qu’elles évoquent, des couleurs, de l’ambiance visuelle, etc. Fixer au quotidien une nature morte ou un cliché en noir et blanc qui inspire la tristesse peut vous tirer vers le bas. S’entourer d’images qui évoquent des émotions positives participe au contraire à cultiver la joie.

J’apporte du confort, source de sérénité

Procédez à ces petites vérifications. Y a-t-il des endroits où la peinture s’écaille, des meubles ou des objets abîmés, des zones où vous manquez de lumière, une couleur ou un papier peint que vous ne supportez plus, etc. ? Avez-vous repéré des bips qui vous agressent, des bruits de fond ou des grésillements qui vous stressent ? Pensez aussi au confort olfactif : sentez-vous parfois de mauvaises odeurs et d’où viennent-elles (humidité, canalisations, odeurs de fromage quand vous ouvrez le frigo…) ? Enfin, certaines matières vous gênent-elles comme un sol trop froid, un revêtement de canapé qui colle, gratte ou tient chaud ? Pour chaque problème identifié, inscrivez une solution possible (remettre un coup de peinture, acheter un abat-jour pour cacher cette ampoule à nu, un déshumidificateur ou une cloche à fromage, faire installer du double vitrage, ajouter un tapis sur le carrelage…) et essayez de la mettre en place.

Pourquoi ça fait du bien ? Pour se sentir bien chez soi, il faut apporter du confort à nos sens. Rien ne doit venir nous agacer, nous heurter, que ce soit au niveau visuel, en termes d’odeurs, etc. Sinon, on y pense, même inconsciemment, et ça perturbe notre tranquillité d’esprit. « On attend d’une maison qu’elle soit rassurante », résume Alberto Eiguer.

Dans 50 exercices de déco thérapy (Eyrolles), Anne-Laure Rusak nous accompagne pas à pas. L’ouvrage sous forme de cahier pratique permet de noter toutes nos observations, envies, projets… pour passer à l’action et se sentir pleinement heureuse chez soi.

Merci au Dr Alberto Eiguer, psychiatre et psychanalyste, spécialiste du couple et de la famille, auteur de L’inconscient de la maison (Dunod), à Anne-Laure Rusak, décoratrice d’intérieur, autrice de 50 exercices de déco thérapy (Eyrolles) et à Alexandra Viragh, créatrice de la psycho-décoration, autrice de Feng shui, force d’harmonie (Trajectoire) et de Rangement détox, 9 clés pour une maison heureuse (Solar).

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