"Au lieu de nous pomper l’air…" : Brigitte Bardot, écœurée, pousse une gueulante, explications (et propos clivants)

Fervente militante de la cause animale reconnue pour ne pas mâcher ses mots, Brigitte Bardot publie sur Twitter une longue lettre ouverte dans laquelle elle dénonce l’inaction des autorités face à la maltraitance animale qu’elle qualifie de "racisme animalier".

Ce film à l'origine de la colère de Brigitte Bardot

A l'origine de ce coup de gueule de l'actrice aujourd'hui âgée de 88 ans, le film de Roman Polanski Le Pianiste, diffusé la veille sur Arte, qui révèle selon elle "la profonde et abjecte cruauté humaine qui au fil des siècles a toujours été l'ADN profond de la nature humaine (…) J'ai fait le rapprochement avec la barbarie humaine actuelle qui use de sa prédominance sur les animaux eux aussi soumis et innocents", s'insurge-t-elle avant de revenir sur la vidéo de l'association L.214 qui dénonce l'atroce barbarie avec laquelle les chèvres sont traitées. Dans l'indifférence générale selon elle. "Chaque jour, trois millions d'animaux sont égorgés dans les abattoirs en France, qui s'en soucie ?", souligne-t-elle. Et d'ajouter, furieuse : "Le racisme envahit les écrans, les chèvres torturées n'ont pas ému la classe politique."

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Brigitte Bardot, coutumière des coups de gueule

Pleinement engagée pour la défense animale à laquelle elle a consacré toute sa vie, l'ancienne actrice Brigitte Bardot est devenue coutumière des longs plaidoyers pour la cause animale. Après avoir adressé une lettre assassine au président de la République, Emmanuel Macron, dans laquelle elle qualifiait durement le président français de "Poutine de la nature et des animaux" et de "destructeur sanguinaire méprisable et méprisé" – en raison de sa complaisance et son soutien affiché aux chasseurs – elle avait aussi exprimé sa colère contre le chef d'État algérien, Abdelmadjid Tebboune, pour lui faire part de son émoi et sa déception quant au sort réservé aux animaux errants en Algérie, puis s'était ouvertement opposée "rituel sanglant" que constitue selon elle le sacrifice rituel de l'Aïd el-Kebir.

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