Accusé d’agression sexuelle, Illan Castronovo, candidat emblématique du "Reste du Monde", a partagé un message inquiétant sur ses réseaux sociaux ce vendredi 28 octobre…
Ce vendredi 28 octobre 2022, Illan Castronovo, notamment connu pour avoir participé à la 11e saison des « Anges », a posté un message très inquiétant sur les réseaux sociaux. Accusé d’agressions sexuelles, le célèbre candidat affirme vouloir mettre fin à ses jours. Sur son compte Instagram, il écrivait ainsi : « J’ai eu une sacrée vie quand même… Mais toutes les bonnes choses ont une fin. »
« Le 14 novembre 2021 ma vie a basculé. Depuis ce jour-là, j’ai perdu toute joie de vivre. J’ai essayé de tenir et de me relever pour mes proches. Mais quand je vois qu’un an après, on ne me lâche toujours pas… », poursuivait le meilleur ami de Milla Jasmine avant d’ajouter : « En réalité, personne ne peut se rendre compte de ce que c’est d’être accusé à tort de choses horribles alors que tu n’as réellement rien fait. Le tribunal médiatique… Aujourd’hui en France, c’est ça à la justice. Le tribunal médiatique m’a condamné à mort. »
« Je préfère mourir »
« Arrêtez de croire que les gens qui postent sur les réseaux sociaux une séance de sport une belle voiture vont bien… La goutte d’eau qui fait déborder le vase… C’est réel. Sam Zirah, tu me pousses au suicide. Le mot agression sexuelle associé à mon nom a été prononcé tellement de fois dans ta bouche que je les compte même plus. Des années que tu me salis. Tu as gagné. S’il te plaît, quand je serai mort, au moins respecte mes parents et ma famille. Arrête de prononcer ce mot associé à mon nom sans aucune procédure à mon encontre et sans aucune condamnation. Merci. »
Et de conclure « Je te rappelle, la présomption d’innocence, c’est un droit fondamental auquel j’ai le droit, encore plus quand il n’y a aucune procédure à mon encontre. Accusé à tort, oui, c’est ça la vérité. Parce qu’en réalité, on ne va pas se mentir, quand tu es sali, tu es sali à vie. Tu as beau faire ce que tu veux, il n’y a rien qui va changer. Aujourd’hui, la vérité, c’est que je préfère mourir que porter une étiquette qui n’est pas la mienne. » Un message alarmant.
La rédaction
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